vendredi 23 décembre 2011

ATEX SYSTEM Exhibitor to GLOBAL LNG FORUM at MARSEILLE FRANCE 8-10th February 2012





GLOBAL LNG FORUM ATEX SYSTEM Exhibitor

Following last year’s success with The Global LNG Forum 2011, as well as with our multi-year successes with conferences and trainings in Oil and Gas Industry like : Pipeline Integrity Management ; Microbial Corrosion ; Pipeline Maintenance and Reliability, Offshore Installation Maintenance ; Effective Plant Shutdowns & Turnarounds ; HSE Excellence ; European Gas Forum ; Gas Storage and Infrastructure ; Unconventional Oil and Gas Resources and many more ; Fleming Europe invites gas professionals from around the world for the 2nd annual of The Global LNG Forum 2012, officially endorsed by Elengy (GDF SUEZ Group).

With the cooperation of Elengy this event will invites industry peers for some lively discussions about the latest issues and developments, but it will offer our attendees the opportunity to visit Fos Cavaou LNG Terminal – operated by Elengy, a major gas entry point into the French and European market.

Join us from the 8th – 10th February 2012 to be able to experience ‘the’ LNG conference of year 2012.

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mercredi 21 décembre 2011

Total : 3 nouveaux permis d’exploration en offshore profond

A la suite d’un appel d’offres international, Total annonce avoir signé à Luanda (Angola), le 20 décembre 2011, 3 contrats de partage de production avec la compagnie nationale Sonangol, concessionnaire des trois blocs concernés.

Total acquiert ainsi, en tant qu’opérateur, une participation de 50% dans le bloc 40 et de 35% dans le bloc 25 et, en tant que partenaire, une participation de 15% dans le bloc 39.
Sur le bloc 40, qui se situe par des profondeurs d’eau de 1 500 à 3 400 mètres et s’étend sur 7 604 kilomètres carrés, Total (opérateur) aura pour partenaires Sonangol P&P (30%) et Statoil (20%).

Au sein du bloc 25, Total (opérateur) aura pour partenaires Sonangol P&P (30%), Statoil (20%) et BP (15%). Ce bloc se situe par des profondeurs d’eau de 700 à 2 200 mètres et s’étend sur 4 842 kilomètres carrés.

Enfin, sur le bloc 39, Total aura pour partenaires Statoil (55%, opérateur) et Sonangol P&P (30%). Ce dernier bloc se situe par des profondeurs d’eau de 1 330 à 3 400 mètres et s’étend sur 7 831 kilomètres carrés.

Ces trois blocs se situent dans l’offshore profond du bassin de la Kwanza, une zone du domaine minier angolais encore largement inexplorée. Le principal objectif est l’exploration de prospects situés sous la couche de sel (ante-salifère) dans ces blocs qui présentent des analogies géologiques prometteuses avec les bassins prolifiques du Santos et du Campos au Brésil, où des découvertes majeures ont eu lieu ces dernières années sur cette même thématique.

Démanteler Fukushima prendra 40 ans



Le gouvernement japonais présente mercredi le planning des travaux à réaliser sur la centrale de Fukushima.

Le démantellement de la centrale accidenté sera étalé sur une durée de 40 ans. "Le travail se fera en plusieurs étapes", explique Goshi Hosono, ministre japonais de l’Environnement chargé de l’accident.

Le retrait du combustible usé des piscines de désactivation devrait débuter dans environ deux ans et durer plusieurs années. Durant cette période seront également renforcés les systèmes de refroidissement pour les réacteurs et piscines ainsi que les diverses installations.
L’extraction du combustible fondu dans les réacteurs 1 à 3 débutera dans dix ans, et durera plus de deux décennies. Des techniques nouvelles seront nécessaires pour réaliser ses travaux, l’état désastreux du site étant totalement inédit.

"Nous devons effectuer ces travaux en évitant de générer de nouveaux risques", insiste le ministre japonais de l’Industrie, Yukio Edano. L’état d’arrêt à froid des réacteurs accidentés a été annoncé vendredi 16 décembre.

Petroplus Petit-Couronne au régime sec



Social. « La direction nous avait réunis le 15 décembre en comité d’entreprise extraordinaire pour nous présenter officiellement l’arrêt des unités d’huiles et ses projets alternatifs de restructuration, raconte un membre du CE, mais elle a repoussé cette présentation à la fin du mois de janvier prochain. » Pour les salariés de Petroplus, ceci est de mauvais augure. Selon la même source, « la direction a en effet indiqué que sa copie serait revue à la baisse. Elle a pris cette décision au vu de la détérioration de la situation financière du groupe et doit faire des économies à tous les niveaux, dont celui de l’enveloppe financière prévue pour la raffinerie ». Comme sur l’ensemble de ses sites, le groupe ne réalisera que les investissements obligatoires.

A Petit-Couronne, le « manque de cash ou de rendement financier » se fait sentir. « Toutes les études faites sur les différents fonctionnements des unités d’huiles ou de modification de matériel pour le traitement des carburants ne sont pas retenues soit par manque de cash ou de rendement financier. Quant à notre fabrication de bitumes, elle se limitera qu’aux bitumes de qualités et à fort volume. Ce qui représentera une diminution de production. Nous craignons que la direction n’en reste pas au seul arrêt des unités d’huiles et à la suppression de 120 postes prévus sur les 550 postes de la raffinerie », rapporte le CE.

De son côté, la direction n’a pas souhaité faire de commentaire, arguant ne pouvoir s’exprimer avant d’avoir présenté le projet aux salariés. Elle a uniquement confirmé que la dégradation de la marge de raffinage à 0,8%, l’obligeait à réviser ses projets.

DIETSWELL signe avec LUKOIL Mid-East Ltd à Dubai d’un accord-cadre de trois ans pour des services d’audit technique



DIETSWELL annonce la signature avec LUKOIL Mid-East Ltd d’un contrat pour l’inspection de dix (10) appareils de forage à terre (drilling rigs) et de cinq (5) appareils d’intervention sur puits (workover rigs), soit au total 15 appareils.

Ce contrat-cadre de trois ans, d’une valeur estimée de 1,1 million de dollars US, renforce la présence de la société dans la région du Moyen-Orient en général, et en Iraq en particulier. Les premières inspections qui seront réalisées par Factorig, la division audit et inspection de Dietswell devraient commencer en janvier 2012.

Technip remporte un contrat à prix forfaitaire pour le développement du champ Lucius dans le golfe du Mexique



Technip a remporté un contrat à prix forfaitaire auprès d’Anadarko Petroleum Corporation. Ce contrat porte sur l’ingénierie, la construction et le transport de la coque d’une plate-forme de production de type Truss Spar de 23 000 tonnes, pour le projet Lucius(1) situé dans le golfe du Mexique (États-Unis), à 2 165 mètres de profondeur, et dont l’exploitation devrait démarrer en 2014. Lucius sera la septième Spar livrée par Technip à Anadarko(2).

La plate-forme flottante Lucius aura une capacité de production de 80 000 barils de pétrole et de 13 millions de m3 de gaz naturel par jour.

Le centre opérationnel de Technip à Houston (Texas), managera l’ensemble du projet. La conception détaillée de la coque et sa fabrication seront effectuées sur le chantier naval du Groupe à Pori (Finlande).

Cette Spar, la quinzième réalisée par Technip (sur dix-huit dans le monde), démontre à la fois le leadership du Groupe dans ce type d’unités flottantes et sa capacité à fournir des solutions pour les développements en eaux très profondes. Elle confirme également l’expertise et la capacité du chantier de Pori à livrer des plates-formes performantes.

TUROGE 2011



The 11th edition of the Turkish International Oil & Gas Conference and Showcase (TUROGE) will take place on 21 - 22 March 2012 at the Sheraton Hotel & Convention Center in Ankara, Turkey.
The event brings together leaders from the local and global public and private sectors, international Ambassadors to Turkey and senior level managers from major oil and gas companies.

The conference is an ideal platform to learn about both geo-political and technical insights into the local energy industry, while listening to presentations from representatives from the Turkish government. The showcase is also an ideal platform that unites regional suppliers with global operators.

Eni signs the Production Sharing Contract for the exploration of Block 35 in deepwater offshore Angola

Eni and Sonangol E.P. signed today in Luanda a Production Sharing Contract (PSC) for the exploration of Block 35, which is situated in deepwater offshore Angola, 150km off the coast of the capital Luanda. The Block covers approximately 4,900 square km of potential mining acreage in the deep water of the northern Kwanza Basin, one of the most attractive areas for pre-salt exploration in West Africa.

The contract encompasses the drilling of two wells at pre-salt play and the acquisition of a 3D seismic survey of 2500 square km. These commitment activities will take place during the first exploration period, which will last 5 years. Eni is the operator of the project with a 30% interest and the other partners in the Joint Venture are Sonangol P.P. (45%) and Repsol Exploracion SA (25%).

Eni’s operatorship of the project allows it to leverage its deepwater experience, gained through its participation in Blocks 15 and 14, where it holds a 20% interest, and through its operatorship of Block 15/06 (with a 35% interest), where the company successfully completed the first exploration campaign with the sanctioning of two development projects.

This PSC strengthens Eni’s presence in Angola and reinforces its commitment to deepwater developments. The technological complexity of these frontier projects requires specific skills and expertise which are key factors in the company’s success.

Eni has been present in Angola since 1980. Its current equity production is approximately 130,000 barrels of oil equivalent per day. This operation positions Angola as one of the core countries in Eni’s organic production growth strategy.

Alliance Oil and Repsol reach an agreement to form and govern Russian exploration and production joint venture

Repsol Chairman Antonio Brufau and Alliance Group Chairman Musa Bazhaev have today signed an agreement in Moscow to form a joint venture that serves as a growth platform for both companies in the Russian Federation, the world’s largest oil and gas producer.

This agreement seeks to combine Alliance’s knowledge and access to exploration and production business opportunities in Russia with Repsol’s know-how and technological and financing capabilities to create a long-term exploration and production partnership in Russia.

The joint venture is envisioned to have a total asset base of approximately $840 million following asset and cash contributions by the shareholders. Alliance and Repsol will hold a 51% and a 49% stake respectively in the joint venture.

Under this collaboration, Alliance will transfer its upstream subsidiaries Saneco and Tatnefteodatcha, which comprise exploration and production licenses at 14 fields with proven and probable oil reserves of 171.5 million barrels as of 31st December 2010 and current production of around 20,500 barrels of oil per day. Alliance’s asset contribution is valued at $570 million. Repsol will carry out a capital increase in the joint venture and also pay cash to Alliance to obtain a 49% participation.

In addition to the exploitation of the assets contributed by Alliance, the agreement envisages the pursuance of growth opportunities through the joint acquisition of oil and gas assets in Russia. The joint venture will have preferential rights regarding new upstream business opportunities identified by either Alliance or Repsol in Russia. The formation of the joint venture is pending regulatory approval. Alliance has been advised by Bank of America Merrill Lynch and Baker & McKenzie and Repsol by Barclays Capital and DLA Piper.

Fairmount Sherpa delivers rig Noble Paul Romano in Egypt



Fairmount Marine’s powerful tug Fairmount Sherpa has safely towed the semi-submersible drilling rig Noble Paul Romano from the Gulf of Mexico to Egypt. The tow was over a distance of close to 8,000 miles.

When contracted by Noble Drilling the Fairmount Sherpa just has completed the installation of FPSO Skarv, offshore Norway.

Fairmount Sherpa was mobilized first to Rotterdam for supplies and bunkers before it sailed to Jamaica for a rendez-vous with Noble Paul Romano, which was all ready under tow by tug Svitzer Rotterdam. Offshore Jamaica Fairmount Sherpa hooked up the tow and the convoy set sail for San Juan, Puerto Rico, for bunkers.

After the successful crossing of the North Atlantic the convoy safely arrived at Las Palmas, Canary Islands, for a next bunker stop. Here Fairmount Sherpa assisted in cargo and personnel transfer for the Noble Paul Romano as well.

En route Egypt the convoy made a stop in Malta for a cargo and personnel run for the Noble Paul Ramona before it sailed towards the mooring position in the North Hap’y oilfield in the Greater Nile basin offshore Egypt, in the eastern part of the Mediterranean sea. The satisfied client Noble Drilling hired Fairmount Sherpa for additional cargo runs in the North Hap’y field.

Fairmount Marine is a marine contractor for ocean towage and heavy lift transportation, headquartered in Rotterdam, the Netherlands. Fairmount’s fleet of tugs consists of five modern super tugs of 205 tons bollard pull each, especially designed for long distance towing. Fairmount Marine is part of Louis Dreyfus Armateurs Group.

Canada lays down filing rules for offshore Arctic drilling

Canada’s National Energy Board, in an effort to allay public concerns in the wake of the Gulf of Mexico disaster, released filing requirements for future applications to drill in the Canadian Arctic Offshore.
“Filing requirements set out the technical information we will need to see in future applications for offshore drilling in the Canadian Arctic,” said NEB Chair and Chief Executive Officer Gaetan Caron.
“These new requirements provide clarity to future applicants and to those who will provide input into the board’s decision to approve or deny an application for a well in the Arctic,” Caron said.
There is currently no offshore drilling in Canada’s Arctic and no applications for drilling before the board. But companies now licensed to explore in the Beaufort Sea would still need to respond to the newly released filing requirements in their applications.
Publication of the filing requirements follows several months of extensive consultation carried out across the northern areas of the country during the NEB’s so-called Arctic Review.
“During the Arctic Review, many northern residents stated that if drilling is to be authorized in the unique Arctic environment, it must be done right,” NEB said in issuing its report.
The report’s key findings include :

• The root cause of most offshore accidents is the lack of a broadly shared safety culture. In other words, people don’t do what they are supposed to do.

• The NEB has the necessary tools to protect the safety of workers, the public and the unique Arctic environment.

• Northern residents want their voices to be heard in future decisions about offshore drilling, and they want to be involved in preparing for future drilling projects, in particular in training for emergencies.

• The NEB has reaffirmed its Same Season Relief Well Policy. Any company wishing to depart from it in a future application for a well would have to demonstrate how they would meet or exceed the intended outcome of the policy, which is to kill an out-of-control well in the same season in order to minimize harmful impacts on the environment.

• During the Arctic Review, industry representatives acknowledged Northern residents’ concerns and committed to engaging communities in more meaningful ways, as early as possible in their planning processes.

• Industry representatives also spoke of developing and offering appropriate training opportunities to northerners to help prepare them for employment and business opportunities.
Trevor Taylor, policy director with Oceans North Canada, an arm of the US-based Pew Environment Group, felt the NEB review was "a positive first step" but he hopes for more clarity on specific issues.
Taylor said it appears that the NEB will consider the specifics of each energy company’s safety plan on a case-by-case basis rather than by setting detailed requirements.

"Our major concern and disappointment with the report is that some of the clarity on Arctic filing requirements, on emergency response…is still lacking," he said.

lundi 28 novembre 2011

Le convoi de déchets nucléaires arrivé à son terminus



Après plusieurs jours de mobilisation des groupements anti-nucléaires sur le trajet, le dernier convoi de déchets nucléaires allemands en provenance de France a atteint dans la nuit de dimanche à lundi son terminus ferroviaire à Dannenberg. Arrivés à 4h04 dans la gare de déchargement, les11 conteneurs transportant des déchets nucléaires allemands retraités en France vont être chargés sur des camions en direction de l’ancienne mine de sel de Gorleben. Ce site est reconverti temporairement en lieu de stockage pour les résidus hautement radioactifs.

Technip remporte un contrat de service Offshore en mer du Nord norvégienne



Technip a remporté un contrat de service d’ingénierie auprès de Samsung Heavy Industries Co Ltd pour le développement du champ de gaz et de condensat Valemon opéré par Statoil. Ce champ est situé en mer du Nord norvégienne, à environ 160 kilomètres à l’ouest de Bergen.

Le contrat comprend la conception détaillée, l’ingénierie de la fourniture des équipements et l’ingénierie de support dans la phase de construction de l’installation de surface de la plate-forme fixe Valemon.

Le centre opérationnel de Technip à Kuala Lumpur (Malaisie) réalisera le contrat, qui devrait être achevé au deuxième semestre 2012.

Le champ Valemon est l’un des plus importants projets de développement de Statoil sur le plateau continental norvégien, et contient des réserves récupérables équivalentes à environ 206 millions de barils de pétrole.

Un système ingénieux canadien de chauffage distingué



Le quartier de la communauté solaire canadienne - Drake Landing (CSDL) a remporté l’édition 2011 de l’Energy Globe World Award par la mise en oeuvre d’un système ingénieux grâce auquel la chaleur du soleil est stockée sous la surface de la Terre.

La CSDL a réussi à combiner la technologie canadienne en matière d’efficacité énergétique à une source énergétique renouvelable et illimitée, le soleil.
Ce genre de communauté est sans précédent dans le monde. Elle constitue la plus grande subdivision de Maisons R-2000 au Canada, chacune d’entre elles présentant une efficacité énergétique de 30% supérieure à une habitation courante ;
Ensuite, elle répond à 90% des besoins en chauffage de chaque maison grâce à l’énergie solaire, ce qui diminue la dépendance envers les combustibles fossiles ;
Enfin, elle permet de réduire chaque année de 5 tonnes les émissions de gaz à effet de serre de chaque maison.

Ce projet représenté par Doug Mc Clenahan comprend 52 foyers de la ville d’Okotoks, dans l’Alberta, qui profitent ainsi d’un système permettant à la chaleur estivale d’être stockée sous la surface de la Terre. Pour se faire, le réseau héliothermique comprend 800 panneaux solaires plats à vitrage simple (inclinaison 45° - Sud) placés en 4 rangées sur les garages détachés qui se trouvent derrière les maisons.

Un liquide antigel - un mélange d’eau et de glycol non toxique - est pompée à travers des capteurs solaires et chauffée par le soleil. Les 800 collecteurs sont reliés entre eux via un réseau de canalisations souterraines qui transportent le liquide chauffée jusqu’à la centrale d’énergie de la communauté. Les capteurs solaires produisent 1,5 mégawatt de puissance thermique au cours d’une journée courante d’été.

La centrale d’énergie de la CSDL constitue le cœur même du réseau d’énergie de quartier. Située dans un coin du parc de la communauté, elle abrite les deux réservoirs thermiques à court terme de 120 m3, la chaudière de secours au gaz naturel, ainsi que la plus grande partie de l’équipement mécanique, comme les pompes, les échangeurs de chaleur et les dispositifs de commande.

jeudi 10 novembre 2011

Open Range Energy Corp. Reports Strong Production Growth From Repeated Horizontal Drilling Success



Open Range Energy Corp. (TSX:ONR) ("Open Range" or the "Company") is pleased to release third-quarter 2011 financial and operating highlights and an update on exploration and production operations at the Company’s core Ansell/Sundance Deep Basin property.
Following the recent tie-in of multiple new horizontal Wilrich wells, current net production is over 5,000 boe per day, operations with two drilling rigs are ongoing and Open Range is on-track to exit 2011 at its guidance of 6,200 boe per day.

Falkland well proves oil and gas extension

SALISBURY, UK – Rockhopper Exploration has found oil and gas while drilling the Casper prospect in the North Falkland basin.

The semisub Ocean Guardian drilled well 14/10-9 5.9 km (3.6 mi) southwest of the Sea Lion 14/10-2 discovery well toward the southern edge of license PL032. It was designed to penetrate multiple targets in Casper, the Sea Lion Main Complex, and the Kermit structure.
The well was successful in both Casper and Sea Lion, proving a good-quality reservoir package and oil column. In Kermit, the well encountered good-quality sands with oil shows.
Casper was penetrated in an updip position west of the structural low, around 4.8 km (2.9 mi) west of the 14/10-8 well. Reservoir quality was good with porosity of up to 27% and permeability of up to 232 md.

Wireline logging and formation testing suggest 8.4 m (27.5 ft) of net gas pay above 9.6 m (31.5 ft) of net oil pay. Rockhopper says the presence of a gas cap would likely enhance oil productivity from Casper, and development of Sea Lion could include this location for a potential gas disposal well.

At the Sea Lion Main Complex (SLMC), the well penetrated both the SL10 and SL20 lobes, with reservoir porosity of up to 27% and permeability of up to 1285 md.
Net oil pay was 22 m (72 ft) in the SL10 and 14 m (46 ft) in the SL20. Also evident was a free water level with a 10-m (33-ft) transition zone above at 2,501 m (8,205 ft) at the base of the SLMC.
As for Kermit, reservoir sands were water wet with shows.

Rockhopper next plans to side track the well in order to core both the Casper and Sea Lion formations. After completion of this work, the well will be plugged and abandoned.

In the same region, Rockhopper has received regulatory approvals to assume operatorship from Desire Petroleum of license PL004b. After the current well is completed, a well will be drilled here 6.3 km (3.9 mi) southwest of the 14/10-9 well, targeting the most southerly extent of the SLMC and also the Beverley prospect.

Commercial gas deliveries through Nord Stream started


Celebrations were held at a gas metering station near the town of Greifswald (Germany). The celebrations were dedicated to the commissioning of the first string of the Nord Stream gas pipeline.

Taking part in the celebrations were Dmitry Medvedev, Russian President, Angela Merkel, German Chancellor, Francois Fillon, French Prime Minister, Mark Rutte, Dutch Prime Minister, Erwin Sellering, Minister President of Mecklenburg-Western Pomerania, Guenther Oettinger, EU Commissioner for Energy, Alexey Miller, Chairman of the Management Committee, Gazprom, Kurt Bock, Chairman of the Board of Executive Directors, BASF SE, Johannes Teyssen, Chairman of the Board of Management and CEO, E.ON AG, Klaus Schaefer, Chairman of the Board of Management, E.ON Ruhrgas AG, Gerard Mestrallet, Chairman of the Board and CEO, GDF SUEZ, Paul van Gelder, Chairman of the Executive Board and CEO, Gasunie, Gerhard Schroeder, Chairman of the Shareholders’ Committee, Nord Stream AG, Matthias Warnig, Managing Director, Nord Stream AG.

“Together with our partners we have successfully made a unique Nord Stream pipeline, which has no analogs in the world. For the first time the Russian and European gas transmission systems are connected directly. Russia, Germany, France and the Netherlands today started commercial deliveries of Russian natural gas through Nord Stream and together guarantee long-term energy security of Europe. Today we start not just the first thread of one of gas pipelines – we open a new export gas-transport corridor,” said Alexey Miller.

“Nord Stream connects the major Russian reserves in Siberia directly with the internal European market and gives Europe’s households and industry secure access to important energy resources in the global race for raw materials. For this reason, BASF has been committed to Nord Stream from the early stages as one of the first partners of Gazprom and is also heavily involved in the two connecting pipelines OPAL and NEL. Both these pipelines are central elements of the Nord Stream project and connect the Baltic Sea pipeline with the European natural gas network. Overall, the realization of the project strengthens the energy partnership between Russia and Europe and contributes to a long-term, secure supply of energy,” said Kurt Bock


Saft équipera en batteries les 81 satellites du projet Iridium



Saft vient de remporter un contrat de plusieurs millions d’euros avec Thales Alenia Space, maître d’œuvre du programme, pour la fourniture de toutes les batteries Li-ion embarquées d’Iridium NEXT, la constellation de satellites en orbite terrestre basse, dits satellites LEO (low-Earth orbit), dont les premiers lancements sont prévus pour 2015.

Ce contrat portant sur un total de 81 systèmes de batterie conforte Saft dans sa position de premier fournisseur mondial de batteries de technologie de pointe pour les applications spatiales.

« Ce contrat majeur pour le projet Iridium NEXT est une importante avancée dans la stratégie de Saft, qui entend s’affirmer comme le leader du très important marché des satellites LEO en s’appuyant sur sa solide réputation de fournisseur de batteries de pointe, fiables et de haute performance pour satellites GEO et véhicules spatiaux. Il conforte également les excellentes relations nouées avec Thales Alenia Space dans le cadre des plateformes telles que les satellites GEO Spacebus et LEO Proteus », a déclaré Philippe Jehanno, Directeur général de la division Espace & Défense de Saft. « Nous avons déjà de considérables succès à notre actif sur le marché des constellations LEO, mais nous franchissons véritablement une nouvelle étape avec le contrat Iridium NEXT, car son volume demande la mise en place d’un processus de fabrication adapté à une démarche de production en série ».

Iridium NEXT conservera l’architecture de la constellation Iridium actuelle, la plus grande constellation du monde, constituée de 66 satellites LEO à liaisons croisées couvrant l’intégralité de la planète. Cependant, Iridium NEXT améliorera et développera sensiblement les services de communication mobile d’Iridium grâce à une plus grande vitesse de transmission des données, à de nouveaux services et dispositifs puissants, aux avantages de la technologie IP et à la rétrocompatibilité avec les combinés, dispositifs et applications actuels. Outre les 72 satellites opérationnels – dont 6 satellites de rechange en orbite – le projet Iridium NEXT comprend 9 satellites de rechange au sol, soit un total de 81.

Menace sur un million d’emplois en cas de sortie du nucléaire, selon Henri Proglio

[ACTUALISE] - Après avoir annoncé le 8 novembre que l’abandon de l’atome en France pourrait coûter cher, le patron d’EDF revient à la charge dans une interview au Parisien le 9 novembre.

Selon Henri Proglio, le nombre d’emplois supprimés en cas de sortie du nucléaire en France est estimé à environ un million.
Dans le détail, il estime que 400 000 emplois seraient alors directement ou indirectement menacés. A ce chiffre s’ajouteraient encore 500 000 autres postes dans les entreprises actuellement localisées en France et qui utilisent beaucoup l’énergie, comme l’aluminium. Ces sociétés pourraient en effet partir à l’étranger, selon Henri Proglio.

Enfin, le patron juge que 100 000 emplois futurs dans le cadre du développement du nucléaire mondial ne seraient pas créés. Le patron d’EDF chiffre à environ 0,5 à 1 point l’impact d’une sortie du nucléaire sur le PIB. Le groupe compte actuellement un parc de 60 centrales nucléaires.
Les propos de son patron interviennent au moment où le débat sur la sortie du nucléaire se fait de plus en plus vif en France. Notamment, les négociations entreprises entre le parti socialiste et le parti écologiste EEVL en vue de la présidentielle de 2012 ont été rompues le 8 novembre. Et ce, après que François Hollande annonce qu’il entend poursuivre la construction de l’EPR de Flamanville.

Eva Joly, candidate à la présidentielle sous l’étiquette EEVL, dénonce la mauvaise foi et les manipulations du patron d’EDF. Dans une lettre ouverte aux syndicats de l’énergie, elle affirme que "loin de ces caricatures, de ces manipulations, il faut rétablir des faits et engager l’avenir énergétique de notre pays". Elle explique que les salariés du nucléaire peuvent être les premiers à bénéficier de la transition énergétique et des emplois qui doivent en découler.

L’inauguration du gazoduc Nord Stream renforce la sécurité d’approvisionnement en gaz naturel de l’Europe et de la France

Le 8 novembre, la Chancelière fédérale allemande Angela Merkel ainsi que le Président russe Dmitry Medvedev, les premiers ministres français François Fillon et hollandais Mark Rutte et le Commissaire européen à l’énergie Günther Oettinger ont inauguré officiellement la première ligne du gazoduc Nord Stream entre la Russie et l’Europe.

Nord Stream est une réalisation majeure pour la Russie, l’Europe et GDF SUEZ. Il constitue en effet une nouvelle route d’acheminement du gaz naturel, plus directe, entre l’un des tout premiers pays producteurs et l’Europe de l’ouest. La diversification des sources ainsi que des routes d’acheminement du gaz naturel garantit la sécurité d’approvisionnement des clients du Groupe, tant en France qu’en Europe.

Lors de l’inauguration de Nord Stream, Gérard Mestrallet, Président Directeur général de GDF SUEZ, Groupe coactionnaire du projet à hauteur de 9%, a déclaré : « Nord Stream est un gazoduc d’une importance stratégique pour l’Europe. GDF SUEZ est fier de participer à ce projet d’envergure. Véritable défi technique et industriel, il contribue de manière significative à la sécurité d’approvisionnement du Nord-Ouest de l’Europe où le Groupe est l’un des plus importants énergéticiens et fournit des millions de clients tant en gaz naturel qu’en électricité ».
Le portefeuille d’approvisionnement en gaz naturel de GDF SUEZ est l’un des plus diversifié d’Europe. Il représente un volume annuel de 110 milliards de m3. Avec la mise en place de Nord Stream, le Groupe bénéficiera de volumes additionnels en gaz naturel provenant de Russie à hauteur de 2,5 milliards de m3 par an.

A propos de Nord Stream Nord Stream trace une nouvelle route d’acheminement du gaz russe vers l’Europe. D’une longueur de 1 224 km, ce gazoduc sous-marin, composé de deux lignes parallèles, relie Portovaya Bay (près de Vyborg) à la côte allemande (près de Greifswald) à travers la mer baltique. La première ligne de Nord Stream, achevée et en service, a une capacité de 27,5 milliards de m3 par an. La construction de la seconde tranche du gazoduc d’ici fin 2012 permettra d’augmenter sa capacité à 55 milliards de m3.

Le projet Nord Stream est conduit par Nord Stream AG chargé de l’étude, la construction et l’exploitation future du gazoduc sous-marin. Les actionnaires de Nord Stream AG sont : Gazprom (51%), Wintershall Holding et E.ON Ruhrgas (15,5 % chacun), Gasunie et GDF SUEZ (9% chacun).

La coopération entre Gazprom et GDF SUEZ dans l’approvisionnement en gaz naturel a débuté en 1975. Au total, plus de 310 milliards de m3 de gaz naturel ont été livrés à GDF SUEZ. En décembre 2006, Gazprom et GDF SUEZ ont signé un accord sur le renouvellement des contrats de fourniture jusqu’en 2030.

Vic-en-Bigorre. Feu à l’usine agroalimentaire Actalim

Hier matin, vers 8 heures, un feu s’est déclaré dans l’usine Actalim à Vic-en-Bigorre. L’usine fabrique des aliments pour la filière volailles (canards et porcs) du groupe Euralis. Un court-circuit s’est produit dans un boîtier électrique qui sert à faire fonctionner l’extraction des tourteaux de colza dans un tunnel juste en dessous des silos. Classée Atex (Atmosphères explosives), l’usine a déclenché immédiatement la procédure de sécurité en vigueur.

« Au départ, on craignait que le feu bloque l’usine mais finalement, il n’a interrompu qu’une partie minime de la production durant quelques heures », explique son responsable Didier Camguilhem.
Le site emploie 26 salariés et produit 185.000 t d’aliments par an pour les produits sous signe de qualité des filières du groupe Euralis.


lundi 24 octobre 2011

Un gisement gazier "géant" découvert au large du Mozambique

ENI a annoncé jeudi avoir découvert un "gisement géant" de gaz naturel dans la zone de prospection "Mamba Sud" sur le puits numéro 1, situé au large du Mozambique, ce qui constitue la "plus grande découverte jamais effectuée" par le groupe en tant qu’opérateur.

Le pétrolier italien estime dans un communiqué que cette découverte "impressionnante" peut conduire à un potentiel dans la zone sud d’au moins "15 trillion cubic feet" (ou 425 milliards de m3) de gaz.

Le forage du premier puits (sur les 4 étudiés) a été réalisé précisément à une profondeur d’eau de 1.585 mètres à environ 40 km au large des côtes de la province de Cabo Delgado, basée dans le Nord du Mozambique. "Les résultats obtenus dépassent les attentes" et montrent que cette zone est "une nouvelle province du gaz d’importance mondiale", d’après le groupe italien.
Après avoir foré ce puits jusqu’à atteindre une profondeur d’environ 5.000 mètres et réalisé des essais quantitatifs, ENI indique que la plate-forme d’exploration poursuivra ses travaux sur le second puits, Mamba Nord 1.

Le bassin du Rovuma abrite 5 concessions : ENI, Artumas (Canada), Anadarko (Etats-Unis), Statoil (Norvège) et Petronas (Malaisie). Avec 70% de participation, ENI demeure l’opérateur des 4 zones offshores. Les autres compagnies concernées sont Galp Energia (10 %), KOGAS (10 %) et de ENH (10 %).

A vendre : plateforme pétrolière, bon état général




Le groupe pétrolier Statoil cherche à se débarasser de la plateforme Huldra, dans la mer du Nord. Le gisement est bientôt épuisé, et le démantellement coûte cher. Statoil a donc passé une petite annonce : "plateforme en bon état à vendre : 20 chambres, vue panoramique sur la mer, espace généreux pour hélicoptère". L’acquéreur ne paiera qu’une couronne suédoise symbolique, mais il devra régler le bateau pour se rendre sur place.

AGZ Holding, filiale d’UGI Corporation, et société mère d’Antargaz a acquis les activités GPL de Shell Gas au Benelux



Le groupe ANTARGAZ au Benelux est composé des sociétés Antargaz Belgium n.v., Antargaz Nederland b.v. et Antargaz Luxembourg s.a. Il est le leader de la distribution de GPL sur les marchés du Benelux.

Ce changement d’actionnaire n’entraîne aucune modification des activités des sociétés concernées au Benelux, les organisations en place et la qualité des services apportés aux clients restent inchangées.
ANTARGAZ propose des solutions performantes qui répondent aux besoins des clients sur les marchés domestiques, professionnels et industriels ainsi que pour les réseaux de gaz des collectivités.
Les bouteilles de butane et de propane sont distribuées dans plus de 1 000 points de vente au Benelux.

Suite à cette acquisition, ANTARGAZ Benelux fait partie d’un groupe dont la mission principale est la distribution de gaz avec un engagement de développement et d’innovation sur ses marchés au service de la satisfaction des clients.

La marque ANTARGAZ est une marque leader sur les marchés du GPL depuis plus de 60 ans. Ses principales valeurs sont la proximité vis-à-vis des clients, la sécurité, le respect de l’environnement, l’expérience et une politique d’innovation régulière au service de ses clients.
ANTARGAZ est filiale du groupe UGI, un leader mondial de la distribution de GPL, n°1 aux Etats-Unis avec de fortes positions dans 15 pays d’Europe ainsi qu’une activité en Chine.
Le Groupe UGI est un groupe énergétique diversifié, présent également dans le gaz naturel, l’électricité et les services liés à l’énergie.

lundi 3 octobre 2011

La Socatri reconnue coupable de "déversement de substance toxique"



Nouvelle étape judiciaire pour la filiale d’Areva. Jeudi 30 septembre, la Socatri (filiale d’Areva) a été reconnue coupable par la cour d’appel de Nîmes (Gard) du délit de "déversement de substance toxiques, dans les eaux souterraines ayant entraîné une modification significative du régime normal d’alimentation des eaux".

Cette décision fait suite à une fuite d’uranium en juillet 2008 qui avait rejeté 74 kg d’uranium dans les sols et le réseau hydraulique adjacent à la centrale (canaux et rivières). L’incident, alors classé au niveau 1 de l’échelle Ines (qui en compte 7), avait entraîné la mise en place de mesures de précaution par Areva, ainsi que le limogeage du directeur.

Dans sa décision, la cour d’appel de Nîmes a condamné la Socatri à une amende de 300 000 euros, assortie de dommages et intérêts à hauteur de 20 000 euros pour chaque association constituée partie civile (Greenpeace, Sortir du nucléaire, Les Amis de la Terre, France Nature Environnement,…). La Socatri devra aussi verser 10 000 euros pour préjudice moral, à une dizaine de riverains du site.

"C’est la première fois qu’un exploitant d’une installation nucléaire est condamné pour pollution. Cette jurisprudence fait rentrer dans le droit commun la pollution nucléaire au même titre que les autres formes de pollutions", se réjouit Benoist Busson, représentant de France Nature Environnement.

En octobre 2010, le tribunal de Carpentras (Vaucluse) avait relaxé la Socatri "du délit de pollution des eaux ayant causé un effet nuisible sur la santé ou des dommages à la flore ou à la faune". A l’inverse, il l’avait rendue "coupable du délit d’omission de déclaration sans délai à l’Autorité de sûreté nucléaire et au représentant de l’Etat" la condamnant à une amende de 40 000 euros.


Technip remporte un contrat majeur pour un système de production accéléré sur le champ Mariscal Sucre au Venezuela

 
Technip a remporté un contrat majeur de fourniture des équipements, d’installation et de support opérationnel auprès de Petroleos de Venezuela S.A. (PDVSA) couvrant les installations subsea, onshore et offshore d’un système de production accéléré pour le développement de Mariscal Sucre Dragon, au large du Venezuela.
Le champ Mariscal Sucre Dragon est situé à environ 40 kilomètres au Nord de la péninsule de Paria, dans l’Etat de Sucre au Venezuela, par une profondeur d’eau de 100 à 130 mètres.
Le projet comprend :
- la fourniture et l’installation des flowlines sous-marines,
- la fourniture et l’installation des équipements de traitement du gaz à terre,
- le support opérationnel pour les installations subsea, onshore et offshore.

Thierry Pilenko, Président-Directeur Général de Technip, a déclaré : « ce projet capitalise sur les relations solides développées avec PDVSA durant les travaux en cours. Il nous permet de concentrer au bénéfice de notre client l’expertise, le savoir-faire et les compétences issus de tous nos secteurs d’activité et démontre la force de notre présence mondiale et de notre modèle d’intégration couvrant les domaines subsea, onshore et offshore. »

Technip France a signé ce contrat qui sera enregistré dans le carnet de commandes du segment Subsea du Groupe aux troisième et quatrième trimestres. Les centres opérationnels de Technip en Amérique du Nord et au Royaume-Uni et le Consortium COFRI/Ditech participeront également à la réalisation du contrat.

First Solar vend son parc solaire Californien de 550 MW

 
La compagnie américaine First Solar a annoncé dimanche avoir vendu l’un des plus grands projets d’énergie solaire photovoltaïques (PV) au monde, le parc solaire de 550 mégawatts (MW) dénommé Desert Sunlight, situé près de Desert Center, en Californie.

First Solar, qui par la suite a l’intention de développer, d’opérer et de garder le projet sous des accords séparés, a céder le projet aux associés de NextEra Energy Resources, la filiale de NextEra Energy et GE Energy Financial Services.

Grâce à la transformation de la lumière du soleil en électricité, le projet d’énergie solaire sera en mesure de fournir de l’électricité renouvelable et abordable à environ 160 000 foyers californiens, et de réduire de 300 000 tonnes par an les émissions de gaz à effet de serre.

Le projet se situe à 56 km à l’ouest de Blythe et à 10 km au nord de Desert Center, au coeur de la Chuckwalla Valley, et s’étend sur environ 1.540 hectares de terrain. Environ 80 hectares supplémentaires sont également assignés aux infrastructures liées au projet. First Solar installera des modules photovoltaïques en couches minces provenant en partie de sa nouvelle usine de 300 millions de dollars située à Mesa en Arizona.

Aker Solutions has won a contract to conduct the basic engineering for the development of Total’s Hild field in the Norwegian North Sea



Aker Solutions’ scope of work includes engineering for several building blocks, including topside, jacket, an FSO (floating storage and offloading), turret and mooring, SURF (subsea umbilicals, risers, pipelines and flowlines) and transportation and installation. The work will be completed in the summer of 2012. Basic engineering work covers a greater level of detail than a normal FEED (Front-end, engineering and design) study for field developments.

The topside engineering will be done from Aker Solutions’ head offices in Oslo, Norway, while the turret and mooring work will be conducted in Kristiansand, Norway. Aker Solutions has previously completed a pre-project/pre-basic engineering study for the field. The contract party for Aker Solutions is Aker Engineering & Technology AS.

Hild Hild is an oil and gas field located in the North Sea, about 160 km offshore and 42 km west of the Oseberg field. The water depth is 100-120 metres. The licence owners include the operator TOTAL E&P NORGE AS (which owns 49%), Statoil (21%) and Petoro (30%).

BOEMRE division completes DOI offshore resources restructuring



The US Department of the Interior will complete restructuring of its federal offshore resources management with the division of the Bureau of Ocean Energy Management, Regulation, and Enforcement into two separate agencies on Oct. 1. The smaller agencies will be more nimble and better able to concentrate on solving problems, Interior Sec. Ken Salazar said.
The need to restructure the agency formerly known as the Minerals Management Service was apparent before the Macondo well accident and crude oil spill in 2010, Salazar told reporters during a Sept. 30 briefing at DOI headquarters. Moving its revenue and royalty-collection responsibilities to the newly formed Office of Natural Resources Revenue (ONRR) under DOI’s assistant secretary for policy, management, and budget on Oct. 1, 2010, was only the first step in separating MMS’s conflicting missions, he said.

Completing the restructuring will be BOEMRE’s division into the Bureau of Ocean Energy Management (BOEM), which will be directed by Tommy P. Beaudreau, a BOEMRE senior advisor, and the Bureau of Safety and Environmental Enforcement (BSEE), which BOEMRE Director Michael R. Bromwich will lead until a permanent director can be appointed, Salazar noted.
Bromwich, who joined Beaudreau and Salazar at the briefing, said the 15 months since his appointment as BOEMRE director has been “packed with activity with a real-world consequence : improving offshore oil and gas safety.” He added, “This will continue. We’ve reinvigorated a focus on ethics. We’ve developed recusal mechanisms to avoid conflicts of interest with our inspectors. Most important, we’ve shown that this agency—and, starting tomorrow, pair of agencies—must have adequate resources to do the job, something that has been missing for 28 years.”

mardi 13 septembre 2011

STX Finland signs contract for two well intervention vessels for Eide Marine Services

STX Finland Oy and Eide Marine Semi AS, a subsidiary of Eide Marine Services A/S, have signed a contract for the outfitting, completion and delivery of two highly sophisticated well intervention vessels with an aggregate contract value exceeding EUR 300 million.
The technically advanced well intervention vessels with deadweight of 31,000 tons will have a length of 122 meters and a width of 45 meters. The vessels are designed to operate in rough open sea conditions on Brazilian continental shelf. Vessels have innovative hullforms securing high seakeeping characteristics together with DP3 dynamic positioning system and truster arrangement. Large deck area provides opportunity to arrange all well serving equipment in most efficient way.

The project will create a high outfitting work load for STX Finland and its network. The work on the first hull will begin at STX Rauma shipyard in April 2012 and on the second hull in June 2012. The intervention vessels will be delivered from Rauma shipyard in March 2013 and June 2013. The contract is subject to certain financing conditions.

The contract shows STX Finland’s ability to provide competitive services and win significant contracts in this highly sophisticated and demanding offshore business segment. The contract is also an important part of STX Finland’s diversification strategy, in which the company is continuing to expand its operations into new business areas such as offshore business segment.
"The outfitting contract for Eide Marine Services is a very important project for STX Finland. It shows that our strategic plan to expand our product and services portfolio,and to improve our global competitiveness and presence, has been successful",says Timo Suistio, COO of STX Finland. "The project is very challenging both in terms of amount of outfitting work and the management of several global networking entities." continues Suistio.

Explosion sur un site nucléaire de Marcoule : 1 mort



Le gouvernement a confirmé par le canal du ministère de l’Écologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement, l’explosion d’un four sur le site nucléaire de Marcoule, dans le Gard, entraînant "la mort d’une personne et en blessant 4 autres dont une gravement." 

Nathalie Kosciusko-morizet sera sur place vers 17h15 afin de faire le point sur la situation avec la cellule de crise mise en place localement.
L’accident est survenu à Marcoule (84) sur le site de Centraco (filiale d’EDF), un centre nucléaire de traitement et de conditionnement. Ce site comporte de très nombreuses installations nucléaires, stocke de grandes quantités de déchets radioactifs et manipule du MOX, donc du plutonium.

"A 12h37, une explosion est survenue dans un four de fusion de métaux entrainant Centraco étant spécialisé dans le traitement des déchets très faiblement radioactifs, la ministre a tenu à venir personnellement pour avoir une évaluation précise des éventuels impacts radiologiques de cet accident" a indiqué le cabinet ministériel. Et d’ajouter : "A ce stade, aucun impact à l’extérieur n’a été détecté, mais des inspections et des mesures sont en cours de réalisation à l’intérieur du bâtiment."

Les réactions se font de plus en plus entendre dont celles de France Nature Environnement (FNE) qui estime que "ce nouvel accident souligne les problèmes de maîtrise du risque nucléaire et technologique en France", et cela "à quelques mois de la catastrophe de Fukushima, et à quelques jours de la commémoration des 10 ans d’AZF."

De son côté, la secrétaire nationale d’Europe Ecologie-Les Verts, Cécile Duflot, a publié sur son compte Twitter vouloir "la plus grande transparence" et "en temps réel."

Le Japon va revoir sa stratégie énergétique

D’ici à l’été 2012, le Japon devrait définir une nouvelle politique énergétique de long terme.

A l’occasion de son discours de politique générale, le nouveau Premier ministre japonais a annoncé que l’Etat allait repenser totalement sa stratégie énergétique. Une conséquence de l’accident de Fukushima survenu après le séisme du 11 mars. Précisément, le gouvernement japonais pourrait "réduire autant que possible la part de l’électricité d’origine atomique". Et ce, au profit des énergies renouvelables. "Nous allons repartir d’une page blanche et présenter d’ici à l’été prochain un nouveau plan énergétique à l’horizon 2030", explique le Premier ministre.
Cette annonce est un changement de stratégie total par rapport à la politique présentée par le gouvernement avant la catastrophe de Fukushima. A l’époque le Japon prévoyait d’élever à plus de 50% la part de l’électricité d’origine nucléaire.

Mais la catastrophe du 11 mars a modifié la donne. Actuellement, seuls 11 réacteurs nucléaires sur 54 sont en activité et cinq de plus devraient être arrêtés pour maintenance d’ici à la fin de l’année. Le Premier ministre a notamment précisé le 13 septembre qu’une fois "la sécurité assurée, les réacteurs hors service pour entretien régulier seraient remis en activité". Mais toute nouvelle tranche est désormais gelée.

Cette nouvelle stratégie énergétique de l’Etat semble indispensable pour les entreprises du pays. Elles réclament en effet la garantie d’un approvisionnement stable en électricité et de nouvelles pistes concrètes pour leur permettre de définir leurs orientations industrielles, notamment dans le domaine des nouvelles énergies.


Pétrole Guyanais : "un potentiel économique majeur"

Le gouvernement français a réagi vendredi à la découverte d’hydrocarbures au large de la Guyane par la société « Tullow Oil » et (il) estime que cela pourrait représenter à terme "un potentiel économique majeur."

Cependant, il a également exprimé une certaine prudence par rapport aux remarques de la société « Tullow Oil », car si "la présence d’hydrocarbures a effectivement été détectée, cela ne signifie pas encore l’existence d’un réservoir exploitable."
En effet, pour exploiter du pétrole de manière pérenne dans les eaux guyanaises, il est nécessaire de poursuivre les recherches.

Il convient pour cela dans un premier temps de poursuivre le forage en cours pour le mener à son terme afin de confirmer la tendance, en principe d’ici la fin de l’année 2011. Ensuite, il faut procéder à un ou plusieurs autres forages d’exploration afin de confirmer l’existence d’un réservoir exploitable. Et enfin, l’installation d’une exploitation devient possible, si ces forages de recherche sont positifs, ce qui ne pourra se faire avant plusieurs années.

Le forage en cours est sous la surveillance du Préfet de la Guyane. L’Etat rappelle que toutes les garanties de sécurité, notamment environnementales, devront être réunies pour la poursuite de cette exploration. De plus, il veillera tout à ce que les collectivités, les entreprises locales et plus généralement la population de la Guyane bénéficient des retombées économiques.

JOURNEES ANNUELLES DES HYDROCARBURES 2011

12-13 Octobre 2011 Paris - Palais des congrès - Porte Maillot

Organisées chaque année par l’Aftp et le Gep, les Journées Annuelles des Hydrocarbures sont l’occasion de réunir les acteurs des industries pétrolières, gazières et du parapétrolier pour échanger sur les grandes évolutions de ces secteurs.

Ces journées rassemblent des représentants des compagnies nationales et internationales, des pays producteurs, des sociétés d’études, de services et fournisseurs d’équipements, des experts techniques internationaux et des représentants des Administrations françaises et européennes.

mercredi 7 septembre 2011

ConocoPhillips contraint de stopper une production offshore

La société ConocoPhillips a cessé l’exploitation du plus grand gisement de pétrole offshore de Chine sur injonction de Pékin, car le pouvoir central accuse la compagnie américaine d’avoir caché la gravité d’une marée noire, s’étalant sur plusieurs milliers de km2.

"La production de pétrole a été interrompue dimanche soir au gisement Penglai 19-3, qui est le plus important site d’extraction de pétrole offshore de ConocoPhillips en Chine", a déclaré hier à l’AFP Mme Donna Xue, l’un des porte-parole de la société. Le gisement Penglai 19-3 représente non seulement la plus grosse découverte de champs pétrolifère au large des côtes chinoises mais c’est également l’une des principales réserves d’or noir disponible en Chine.

L’organe officiel d’information du Parti communiste chinois - le Quotidien du Peuple - a accusé ConocoPhillips d’être "indifférent" face aux dégâts causés à l’écosystème marin situé dans le golfe du Bohai (nord-est). L’équivalent de 3.200 barils de matières polluantes se seraient échappées de deux plateformes gérées conjointement par ConocoPhillips et la société étatique chinoise CNOOC.

De son côté, ConocoPhillips a récusé toute "dissimulation" et a fait part de son entière responsabilité. "Nous sommes l’opérateur et nous acceptons de prendre l’entière responsabilité pour ce qui s’est produit sur le champ", a déclaré à l’AFP John Roper, autre porte-parole de ConocoPhillips. "Nous avons immédiatement rapporté l’accident aux autorités compétentes, et de façon aussi complète que possible", a-t-il ajouté.

Alors que la compagnie américaine avait affirmé mercredi avoir presque finaliser la réparation des dégâts occasionnés dans le golfe du Bohai, l’organisme en charge de la gestion des océans (SOA) a déclaré que "la situation n’était pas résolue." Elle a pour se faire utilisé les gros moyens, puisque des satellites, des avions et des robots sous-marins ont été employés.
Au final, selon le Crédit Suisse, cité par l’agence Dow Jones, la production nette de la CNOOC pourrait enregistrer une baisse de 8 millions de barils en 2011, soit un recul de 2,3% par rapport à ses prévisions, si les opérations à Penglai 19-3 restaient à ce stade.

Vallourec inaugure sa nouvelle usine au Brésil

Vallourec, leader mondial des solutions tubulaires premium, annonce l’inauguration ce jour de sa nouvelle aciérie et tuberie au Brésil, en présence de Dilma Rousseff, Présidente du Brésil et Antonio Anastasia, Gouverneur de l’État du Minas Gerais. Ce vaste projet, lancé en 2007, s’inscrit dans la continuité de la stratégie de croissance internationale impulsée par Jean-Paul Parayre, président du Conseil de Surveillance depuis 2000. Le Brésil y tient, depuis cette date, une importance prépondérante.

Créée dans le cadre d’un accord de co-entreprise avec le japonais Sumitomo Metals, Vallourec & Sumitomo Tubos do Brasil (VSB) est détenue à 56% par Vallourec et 44% par Sumitomo Metals et Sumitomo Corporation. La construction de la nouvelle usine, entamée en 2008, est désormais achevée et la production est en phase de démarrage.

Située à Jeceaba, dans l’État du Minas Gerais, à proximité des autres entités brésiliennes de Vallourec, VSB est une usine intégrée, produisant billettes d’acier et tubes en acier sans soudure. Elle bénéficie d’un accès direct aux matières premières fournies par deux filiales de Vallourec spécialisées dans l’extraction de minerai de fer et dans la production de charbon de bois. Complexe industriel unique doté des toutes dernières technologies, l’usine s’étend sur 250 ha et comportera une aciérie équipée de deux hauts fourneaux et d’un four électrique, une tuberie haut de gamme, et un ensemble de lignes de traitement thermique, de filetage et de finition. VSB emploiera 1 600 personnes et sa capacité de production s’élèvera à 1 million de tonnes d’acier (dont 300 000 tonnes pour les besoins propres de Vallourec, hors VSB) et 600 000 tonnes de tubes, dont 300 000 tonnes pour Vallourec. Elle permettra au Groupe d’augmenter sa capacité de production de tubes de plus de 10%. Elle servira les marchés internationaux du pétrole et gaz, en particulier de l’Afrique de l’Ouest.

Philippe Crouzet, Président du Directoire de Vallourec a déclaré : « Présent depuis 1952 dans l’Etat du Minas Gerais par sa filiale V & M do BRASIL, Vallourec a choisi de continuer de s’y développer avec cette nouvelle usine car il bénéficie localement de tous les facteurs de compétitivité, aussi bien les ressources naturelles (minerai de fer, charbon), que les infrastructures et la main-d’œuvre qualifiée. Cette usine est une nouvelle étape dans le développement stratégique de Vallourec. Elle lui permet de soutenir les ambitions de ses clients internationaux et de satisfaire leurs besoins en tubes premium pour le pétrole et le gaz. »

L’appel d’offres pour l’éolien offshore remis en cause

Un recours gracieux a été engagé à l’encontre des ministères de l’Ecologie et de l’Economie et des Finances le 5 septembre. Il porte sur l’appel d’offres lancé en juillet pour développer l’énergie éolienne en mer.

C’est la Fédération environnement durable (FED), qui est à l’origine de ce recours. Elle conteste la construction de ces champs d’éoliennes, qui représenterait à chaque fois environ l’équivalent de la surface de la ville de Paris. L’objectif de la fédération est donc de stopper la construction et ainsi éviter des nuisances visuelles, dues à la taille et à la luminosité des éoliennes.
La fédération n’est pas seule porteuse du recours. Elle est soutenue par des associations de riverains créées face aux sites concernés par l’appel d’offres, comme par exemple au large de Tréport ou de Courseulles-sur-mer.

L’appel d’offres a été lancé le 11 juillet dernier par le gouvernement. L’objectif étant d’implanter sur cinq sites un total de 600 éoliennes d’une puissance de 3.000 mégawatts. Cette opération représente un investissement de dix milliards d’euros et doit permettre d’atteindre l’objectif européen de 20% d’énergies renouvelables dans la consommation d’électricité en 2020.


Murphy to sell Meraux refinery to Valero

Murphy Oil Corp. has agreed to sell its 125,000 b/d refinery in Meraux, La., and related properties to Valero Energy Corp. for $625 million.

Murphy, which is withdrawing from the refining business, agreed in July to sell its 33,250 b/d refinery in Superior, Wisc., to Calumet Specialty Products Partners, Indianapolis (OGJ Online, July 26, 2011).


Of the purchase price, an estimated $300 million is for oil inventories at Meraux. The refinery has 37,000 b/d of fluid catalytic cracking capacity and extensive hydrotreating capacity.
The company announced last year that it would sell its three refineries in order to concentrate on exploration and production (OGJ Online, July 23, 2010). David M. Wood, Murphy president and chief executive officer, said the company now will focus on selling its 106,000 b/d refinery in Milford Haven, Wales.

Valero’s agreement to purchase the Meraux facility follows the completion last month of its purchase of the 220,000 b/d refinery at Pembroke, Wales, from Chevron Corp., which it announced in March (OGJ Online, Mar. 11, 2011). Valero paid $730 million for the refinery plus marketing and logistical assets and expected to pay $1 billion for inventories.

BP Responds to Halliburton Lawsuit

BP is aware of the claims filed against the company on 1 September 2011 by Halliburton. The company is now reviewing the contents of the claims and until this is complete cannot comment in detail.

However, BP believes this lawsuit is the latest attempt by Halliburton to divert attention from its role in the Deepwater Horizon incident and its failure to meet its responsibilities, and to deflect all blame to BP. BP will vigorously contest the claims should they come to court.
BP has co-operated with the various investigation bodies, providing detailed information. Investigations published so far have concluded that multiple parties contributed to the incident, including Halliburton.

Multiple independent investigations have identified serious problems with the cementing of the well as a potential contributory factor to the Deepwater Horizon disaster – not only BP’s own investigation.

BP has accepted its responsibility for responding to the spill and is accordingly paying costs and compensation. In contrast Halliburton has refused to accept any responsibility or accountability. As BP has said repeatedly, it expects other parties to accept their responsibilities and bear their share of the costs.


mercredi 31 août 2011

Data, inventories send crude prices lower

The price of crude oil dropped Wednesday on disappointing data and news from the United States and after the US Energy Information Administration reported that crude oil, gasoline and distillates inventories all grew last week.

September contracts for West Texas Intermediate crude were down $2.12 to $91.67 per barrel at nearly 1:30 p.m. on the New York Mercantile Exchange, while Brent crude was lately reported won $3.06 to $113.40 per barrel on the ICE Futures Europe exchange in London.
The good news was that private group ADP reported that the US private sector added 114,000 new jobs in July, but the Institute for Supply Management said that its services sector index dropped to 52.7 in July, down from 53.3 in June and against an expected rise.
Additionally, the US Commerce Department reported that US factory orders were down by 0.8 percent in the United States in June.

US President Barack Obama signed a bill raising the debt ceiling, but while Moody’s Investors Service and Fitch Ratings both reaffirmed their AAA ratings on US credit for now, Moody’s put a negative outlook on the raging and both ratings agencies warned that they could still cut the US credit rating if legislators did not follow through on debt reduction.
The EIA reported that crude oil inventories were up by 1 million barrels last week to 355 million barrels, 0.8 percent below last year’s levels and less of a gain than expected, while gasoline stockpiles added 1.7 million barrels to 215.2 million barrels against an expected gain of just 350,000 barrels and distillates added 400,000 barrels, much less than the expected gain of 1.8 million barrels.

Refineries worked at 89.3 percent of capacity in the United States last week, according to the EIA, a percentage point higher than the previous week, and it also reported that gasoline demand over the past four weeks was down 3.6 percent from last year during the same period.

Danish Energy Agency grants Nord Stream permission to operate the first of its twin pipelines from Russia to Europe

The Danish Energy Agency granted Nord Stream permission to operate the first of its twin pipelines that will transport natural gas from Russia to Europe. The application for Line 1 was sent in March – exactly two years after Nord Stream applied for permission to construction of the Nord Stream project.

The operations permit has been granted by the Danish Energy Agency as Nord Stream has met and fulfilled all the requirements and commitments stated in the construction permit. Nord Stream has furthermore initiated a comprehensive environmental monitoring programme to ensure that the pipeline has no impact on the ecosystem of the Baltic Sea.

The Operations Permit is based on the documentation submitted by Nord Stream, such as detailed plans which will guarantee the safe operation and maintenance of the natural gas pipeline. The Danish Energy Agency states that Nord Stream is responsible for emergency response planning as well as communicating with the responsible authorities. Nord Stream must also maintain an operational organisation which has sufficient resources and competencies in order to secure the safe operation of its pipeline. Furthermore, the company must also continuously submit reports on the status of the operations of its pipeline.

“We are happy to receive the operations permit from the Danish Energy Agency today. Thanks to a smooth cooperation with the Danish authorities Nord Stream today has taken a step further in securing safe gas deliveries to Europe – including Denmark,” says Nicklas Andersson, Head of Permitting for Denmark and Sweden.

Each of the two pipelines is constructed in three sections. Prior to the advanced underwater welding process, the sections were gauged and thoroughly pressure-tested. Each section was pressurised beyond its planned maximum operating pressure to demonstrate that it can withstand its full operating pressure.