mercredi 31 août 2011

Data, inventories send crude prices lower

The price of crude oil dropped Wednesday on disappointing data and news from the United States and after the US Energy Information Administration reported that crude oil, gasoline and distillates inventories all grew last week.

September contracts for West Texas Intermediate crude were down $2.12 to $91.67 per barrel at nearly 1:30 p.m. on the New York Mercantile Exchange, while Brent crude was lately reported won $3.06 to $113.40 per barrel on the ICE Futures Europe exchange in London.
The good news was that private group ADP reported that the US private sector added 114,000 new jobs in July, but the Institute for Supply Management said that its services sector index dropped to 52.7 in July, down from 53.3 in June and against an expected rise.
Additionally, the US Commerce Department reported that US factory orders were down by 0.8 percent in the United States in June.

US President Barack Obama signed a bill raising the debt ceiling, but while Moody’s Investors Service and Fitch Ratings both reaffirmed their AAA ratings on US credit for now, Moody’s put a negative outlook on the raging and both ratings agencies warned that they could still cut the US credit rating if legislators did not follow through on debt reduction.
The EIA reported that crude oil inventories were up by 1 million barrels last week to 355 million barrels, 0.8 percent below last year’s levels and less of a gain than expected, while gasoline stockpiles added 1.7 million barrels to 215.2 million barrels against an expected gain of just 350,000 barrels and distillates added 400,000 barrels, much less than the expected gain of 1.8 million barrels.

Refineries worked at 89.3 percent of capacity in the United States last week, according to the EIA, a percentage point higher than the previous week, and it also reported that gasoline demand over the past four weeks was down 3.6 percent from last year during the same period.

Danish Energy Agency grants Nord Stream permission to operate the first of its twin pipelines from Russia to Europe

The Danish Energy Agency granted Nord Stream permission to operate the first of its twin pipelines that will transport natural gas from Russia to Europe. The application for Line 1 was sent in March – exactly two years after Nord Stream applied for permission to construction of the Nord Stream project.

The operations permit has been granted by the Danish Energy Agency as Nord Stream has met and fulfilled all the requirements and commitments stated in the construction permit. Nord Stream has furthermore initiated a comprehensive environmental monitoring programme to ensure that the pipeline has no impact on the ecosystem of the Baltic Sea.

The Operations Permit is based on the documentation submitted by Nord Stream, such as detailed plans which will guarantee the safe operation and maintenance of the natural gas pipeline. The Danish Energy Agency states that Nord Stream is responsible for emergency response planning as well as communicating with the responsible authorities. Nord Stream must also maintain an operational organisation which has sufficient resources and competencies in order to secure the safe operation of its pipeline. Furthermore, the company must also continuously submit reports on the status of the operations of its pipeline.

“We are happy to receive the operations permit from the Danish Energy Agency today. Thanks to a smooth cooperation with the Danish authorities Nord Stream today has taken a step further in securing safe gas deliveries to Europe – including Denmark,” says Nicklas Andersson, Head of Permitting for Denmark and Sweden.

Each of the two pipelines is constructed in three sections. Prior to the advanced underwater welding process, the sections were gauged and thoroughly pressure-tested. Each section was pressurised beyond its planned maximum operating pressure to demonstrate that it can withstand its full operating pressure.

THE KAZENERGY Eurasian Forum 4-5 October 2011



THE KAZENERGY Eurasian Forum is the main annual international event of Kazakhstan’s energy sector. Over the course of two days, the heads of government agencies from various countries and the worlds’s largest multi-national energy corporations, along with world-renowned industry experts share their vision and experience on the key industry issues for Eurasia and the world at large. The agenda of the Forum consists of plenary sesions, discussion panels, round tables, thematic seminars and the KAZENERGY Youth Forum.

 

Salon de la Croissance Verte & des Eco-industries : J-30



Les 29, 30 septembre (journées professionnelles) et 1er octobre prochains (ouvert au grand public), se déroulera la prochaine édition du Salon de la Croissance Verte et des Eco-Industries, au Palais des congrès du Futuroscope (86).

Avec ses 160 exposants, ses 5 000 visiteurs professionnels et grand public, ce salon s’impose comme le rendez-vous annuel incontournable des acteurs dans les domaines de l’éco-habitat, de la maîtrise de l’énergie, des énergies propres, de l’éco-mobilité et des éco-procédés.

80% du parc nucléaire japonais à l’arrêt

Dans l’archipel, deux centrales nucléaires vont être mises à l’arrêt pour maintenance. Il n’en restera plus que 11 en activité, sur 54 au total.
Les compagnies d’électricité Kyushu Electric Power et Shikoku Electric Power vont arrêter l’activité de deux de leurs réacteurs nucléaires. Tous les treize mois, les autorités japonaises pratiquent des contrôles sur les réacteurs, ce qui nécessite 75 à 90 jours d’arrêt.

L’unité Sendai N°2 (sud-ouest) de Kyushu Electric Power, remise en activité début août 2010, sera arrêtée jeudi, et la tranche Ikata N°1 de Shikoku Electric Power, relancée également dans les premiers jours d’août 2010, sera stoppée dimanche.
De fait, au total, il ne restera plus à la fin de la semaine que 11 réacteurs en exploitation dans tout le Japon, sur 54 en tout. Cinq unités supplémentaires doivent être arrêtées d’ici le 31 décembre.
Cette réduction continue de la capacité de production électrique du pays force les entreprises et les particuliers à minimiser leur consommation.

L’ex-Premier ministre Naoto Kan s’est prononcé pour une réduction progressive de la part de l’énergie nucléaire au Japon. Son successeur, Yoshihiko Noda, élu mardi, est favorable à un redémarrage des unités dont la sécurité aura été confirmée.

Une première hydrolienne à l’essai au large de Paimpol

Aujourd’hui, la première des quatre turbines hydroliennes de grande taille doit être mise à l’eau au large de Paimpol-Bréhat (Côtes d’Armor) sur les côtes bretonnes, afin de transformer l’énergie des courants marins en électricité.
Une première phase est destinée à tester une machine en conditions réelles. Il faut savoir que la turbine d’une puissance de 500 kW mesure 16 mètres de diamètre, et l’ensemble atteint environ 700 tonnes !

Après l’installation de cette première hydrolienne sur le site de la Horaine, elle sera testée quelques mois sans raccordement au réseau. Ensuite, la turbine sera sortie de l’eau et stockée sur sa barge d’installation, le temps de réaliser des modifications, voire de la maintenance, et dans l’attente de la seconde phase.

Total : démarrage de la production de Pazflor



Total, opérateur du bloc 17, annonce le démarrage de la production de Pazflor en avance par rapport au calendrier initial. Ce champ géant est situé au large des côtes angolaises à 150 kilomètres de Luanda, par des profondeurs d’eau de 600 à 1 200 mètres. Les réserves prouvées et probables de Pazflor sont estimées à 590 millions de barils. La capacité de production de 220 000 barils par jour sera atteinte progressivement dans les prochains mois.
Yves-Louis Darricarrère directeur général Exploration & Production a déclaré : « La mise en production de Pazflor, en avance de plusieurs semaines sur la date prévue et dans le budget prévu, est une performance remarquable de l’ensemble des équipes qui y ont contribué. Cette efficacité trouve également sa source dans le soutien et la confiance témoignés par notre concessionnaire et partenaire Sonangol.

Pazflor nécessitait un développement à la mesure de sa dimension et de sa complexité : en ouvrant de nouvelles voies technologiques, ce projet confirme l‘expertise de notre Groupe en matière de développements dans des environnements d’une très grande complexité. Les installations du projet ont été conçues et testées selon les standards les plus élevés en matière de protection de la santé, de la sécurité et de l’environnement. Nous poursuivons ainsi notre aventure dans l’offshore profond, qui constitue l’un des principaux axes de croissance de notre production future et qui a débuté ici-même en Angola. »

Pazflor regroupe un immense réseau de collecte sous-marin, le plus complexe jamais réalisé en Angola (180 kilomètres de lignes reliant notamment 49 puits sous-marins, 10 000 tonnes d’équipements sous-marins), le tout en liaison avec une énorme barge flottante de production, stockage et déchargement, le FPSO Pazflor. Maintenu par 16 lignes d’ancrage, ce FPSO, long de 325 mètres, large de 62 mètres, pesant plus de 120 000 tonnes et capable de stocker jusqu’à 1,9 million de barils dans sa coque, est le plus grand du monde. L’huile est ensuite exportée vers les tankers via une bouée de chargement. Le gaz associé est réinjecté dans le gisement, et pourra alternativement être exporté vers l’usine d’Angola LNG une fois cette dernière opérationnelle.