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A l’occasion de
 la présentation des bons résultats 2010 de GDF Suez, Gérard Mestrallet,
 le PDG du groupe, est revenu sur trois grands sujets qui animent le 
paysage énergétique français. A savoir : les tarifs du gaz, la loi Nome 
et le gaz de schiste. 
La hausse des prix du gaz
Pour la première fois, GDF Suez a gagné de l’argent sur son activité de 
distribution de gaz en France, à la faveur d’une hausse de 9 % des 
tarifs depuis janvier 2009. Mais Jean-François Cirelli, vice-président 
et directeur général délégué, tempère ces gains : « Nous avons facturé 
10 milliards d’euros de gaz et nous avons une marge de 300 millions 
d’euros. » 
Gérard Mestrallet assure que les demandes de hausse de 
tarifs formulées par GDF Suez « n’ont pas pour but de gagner plus 
d’argent mais simplement de ne plus en perdre ». Les prix devraient 
progresser de 5 % le premier avril prochain. 
La loi Nome
Gérard Mestrallet a une fois de plus expliqué que le prix juste pour 
l’accès à l’énergie nucléaire produite par EDF devrait être fixé à 35 
euros le MWh. La loi Nome (Nouvelle organisation des marchés de 
l’électricité), qui s’appliquera le 1 er juillet prochain, prévoit que 
EDF doit vendre 25 % de sa production nucléaire à ses concurrents. EDF 
exige un prix de 42 euros le MWh. | 
vendredi 4 mars 2011
GDF Suez s’explique sur les sujets polémiques
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