Le 1er mai, Evo Morales a décrété
la nationalisation, entre autres producteurs d’électricité, d’une
filiale de GDF Suez. Quatre jours plus tard, le ministère des Affaires
étrangères a réagi à cette « confiscation ».
L’accord franco-bolivien sur l’encouragement et la
protection des investissements signé le 27 septembre 1989 semble bien
loin. Le mardi 4 mai, le gouvernement français a réagi à la mesure
prise par Evo Morales pendant la fête du Premier mai.
Prônant la « réappropriation des ressources naturelles », le président
bolivien a inclus une filiale de GDF Suez dans le lot des producteurs
d’énergies dont il a décrété la nationalisation. En l’occurrence,
Eletrica Corani, société possédant plusieurs centrales hydroélectriques
dans la province de Cochabamba et dont GDF Suez avait acquis la moitié
du capital à la fin du millénaire écoulé.
source : www.usinenouvelle.com
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