GLOBAL LNG FORUM
ATEX SYSTEM Exhibitor
Following last year’s success with The Global LNG Forum
2011, as well as with our multi-year successes with conferences and
trainings in Oil and Gas Industry like : Pipeline Integrity
Management ; Microbial Corrosion ; Pipeline Maintenance and Reliability,
Offshore Installation Maintenance ; Effective Plant Shutdowns &
Turnarounds ; HSE Excellence ; European Gas Forum ; Gas Storage and
Infrastructure ; Unconventional Oil and Gas Resources and many more ;
Fleming Europe invites gas professionals from around the world for the
2nd annual of The Global LNG Forum 2012, officially endorsed by Elengy
(GDF SUEZ Group).
With the cooperation of Elengy this event will invites
industry peers for some lively discussions about the latest issues and
developments, but it will offer our attendees the opportunity to visit
Fos Cavaou LNG Terminal – operated by Elengy, a major gas entry point
into the French and European market.
Join us from the 8th – 10th February 2012 to be able to experience ‘the’ LNG conference of year 2012.
Source
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vendredi 23 décembre 2011
ATEX SYSTEM Exhibitor to GLOBAL LNG FORUM at MARSEILLE FRANCE 8-10th February 2012
mercredi 21 décembre 2011
Total : 3 nouveaux permis d’exploration en offshore profond
A la suite d’un
appel d’offres international, Total annonce avoir signé à Luanda
(Angola), le 20 décembre 2011, 3 contrats de partage de production avec
la compagnie nationale Sonangol, concessionnaire des trois blocs
concernés.
Total acquiert ainsi, en tant qu’opérateur, une
participation de 50% dans le bloc 40 et de 35% dans le bloc 25 et, en
tant que partenaire, une participation de 15% dans le bloc 39.
Sur le bloc 40, qui se situe par des profondeurs d’eau
de 1 500 à 3 400 mètres et s’étend sur 7 604 kilomètres carrés, Total
(opérateur) aura pour partenaires Sonangol P&P (30%) et Statoil
(20%).
Au sein du bloc 25, Total (opérateur) aura pour
partenaires Sonangol P&P (30%), Statoil (20%) et BP (15%). Ce bloc
se situe par des profondeurs d’eau de 700 à 2 200 mètres et s’étend sur 4
842 kilomètres carrés.
Enfin, sur le bloc 39, Total aura pour partenaires
Statoil (55%, opérateur) et Sonangol P&P (30%). Ce dernier bloc se
situe par des profondeurs d’eau de 1 330 à 3 400 mètres et s’étend sur 7
831 kilomètres carrés.
Ces trois blocs se situent dans l’offshore profond du
bassin de la Kwanza, une zone du domaine minier angolais encore
largement inexplorée. Le principal objectif est l’exploration de
prospects situés sous la couche de sel (ante-salifère) dans ces blocs
qui présentent des analogies géologiques prometteuses avec les bassins
prolifiques du Santos et du Campos au Brésil, où des découvertes
majeures ont eu lieu ces dernières années sur cette même thématique.
Démanteler Fukushima prendra 40 ans
Le gouvernement japonais présente mercredi le planning des travaux à réaliser sur la centrale de Fukushima.
Le démantellement de la centrale accidenté sera étalé
sur une durée de 40 ans. "Le travail se fera en plusieurs étapes",
explique Goshi Hosono, ministre japonais de l’Environnement chargé de
l’accident.
Le retrait du combustible usé des piscines de
désactivation devrait débuter dans environ deux ans et durer plusieurs
années. Durant cette période seront également renforcés les systèmes de
refroidissement pour les réacteurs et piscines ainsi que les diverses
installations.
L’extraction du combustible fondu dans les réacteurs 1 à
3 débutera dans dix ans, et durera plus de deux décennies. Des
techniques nouvelles seront nécessaires pour réaliser ses travaux,
l’état désastreux du site étant totalement inédit.
"Nous devons effectuer ces travaux en évitant de générer
de nouveaux risques", insiste le ministre japonais de l’Industrie,
Yukio Edano. L’état d’arrêt à froid des réacteurs accidentés a été
annoncé vendredi 16 décembre.
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Petroplus Petit-Couronne au régime sec
Social.
« La direction nous avait réunis le 15 décembre en comité d’entreprise
extraordinaire pour nous présenter officiellement l’arrêt des unités
d’huiles et ses projets alternatifs de restructuration, raconte un
membre du CE, mais elle a repoussé cette présentation à la fin du mois
de janvier prochain. » Pour les salariés de Petroplus, ceci est de
mauvais augure. Selon la même source, « la direction a en effet indiqué
que sa copie serait revue à la baisse. Elle a pris cette décision au vu
de la détérioration de la situation financière du groupe et doit faire
des économies à tous les niveaux, dont celui de l’enveloppe financière
prévue pour la raffinerie ». Comme sur l’ensemble de ses sites, le
groupe ne réalisera que les investissements obligatoires.
A Petit-Couronne, le « manque de cash ou de rendement
financier » se fait sentir. « Toutes les études faites sur les
différents fonctionnements des unités d’huiles ou de modification de
matériel pour le traitement des carburants ne sont pas retenues soit par
manque de cash ou de rendement financier. Quant à notre fabrication de
bitumes, elle se limitera qu’aux bitumes de qualités et à fort volume.
Ce qui représentera une diminution de production. Nous craignons que la
direction n’en reste pas au seul arrêt des unités d’huiles et à la
suppression de 120 postes prévus sur les 550 postes de la raffinerie »,
rapporte le CE.
De son côté, la direction n’a pas souhaité faire de
commentaire, arguant ne pouvoir s’exprimer avant d’avoir présenté le
projet aux salariés. Elle a uniquement confirmé que la dégradation de la
marge de raffinage à 0,8%, l’obligeait à réviser ses projets.
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DIETSWELL signe avec LUKOIL Mid-East Ltd à Dubai d’un accord-cadre de trois ans pour des services d’audit technique
DIETSWELL
annonce la signature avec LUKOIL Mid-East Ltd d’un contrat pour
l’inspection de dix (10) appareils de forage à terre (drilling rigs) et
de cinq (5) appareils d’intervention sur puits (workover rigs), soit au
total 15 appareils.
Ce contrat-cadre de trois ans, d’une valeur estimée de
1,1 million de dollars US, renforce la présence de la société dans la
région du Moyen-Orient en général, et en Iraq en particulier. Les
premières inspections qui seront réalisées par Factorig, la division
audit et inspection de Dietswell devraient commencer en janvier 2012.
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Technip remporte un contrat à prix forfaitaire pour le développement du champ Lucius dans le golfe du Mexique
Technip a
remporté un contrat à prix forfaitaire auprès d’Anadarko Petroleum
Corporation. Ce contrat porte sur l’ingénierie, la construction et le
transport de la coque d’une plate-forme de production de type Truss Spar
de 23 000 tonnes, pour le projet Lucius(1) situé dans le golfe du
Mexique (États-Unis), à 2 165 mètres de profondeur, et dont
l’exploitation devrait démarrer en 2014. Lucius sera la septième Spar
livrée par Technip à Anadarko(2).
La plate-forme flottante Lucius aura une capacité de
production de 80 000 barils de pétrole et de 13 millions de m3 de gaz
naturel par jour.
Le centre opérationnel de Technip à Houston (Texas),
managera l’ensemble du projet. La conception détaillée de la coque et sa
fabrication seront effectuées sur le chantier naval du Groupe à Pori
(Finlande).
Cette Spar, la quinzième réalisée par Technip (sur
dix-huit dans le monde), démontre à la fois le leadership du Groupe dans
ce type d’unités flottantes et sa capacité à fournir des solutions pour
les développements en eaux très profondes. Elle confirme également
l’expertise et la capacité du chantier de Pori à livrer des
plates-formes performantes.
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TUROGE 2011
The 11th
edition of the Turkish International Oil & Gas Conference and
Showcase (TUROGE) will take place on 21 - 22 March 2012 at the Sheraton
Hotel & Convention Center in Ankara, Turkey.
The event brings together leaders from the local and
global public and private sectors, international Ambassadors to Turkey
and senior level managers from major oil and gas companies.
The conference is an ideal platform to learn about both
geo-political and technical insights into the local energy industry,
while listening to presentations from representatives from the Turkish
government. The showcase is also an ideal platform that unites regional
suppliers with global operators.
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Eni signs the Production Sharing Contract for the exploration of Block 35 in deepwater offshore Angola
Eni and Sonangol E.P. signed today
in Luanda a Production Sharing Contract (PSC) for the exploration of
Block 35, which is situated in deepwater offshore Angola, 150km off the
coast of the capital Luanda. The Block covers approximately 4,900 square
km of potential mining acreage in the deep water of the northern Kwanza
Basin, one of the most attractive areas for pre-salt exploration in
West Africa.
The contract encompasses the drilling of two wells at
pre-salt play and the acquisition of a 3D seismic survey of 2500 square
km. These commitment activities will take place during the first
exploration period, which will last 5 years. Eni is the operator of the
project with a 30% interest and the other partners in the Joint Venture
are Sonangol P.P. (45%) and Repsol Exploracion SA (25%).
Eni’s operatorship of the project allows it to leverage
its deepwater experience, gained through its participation in Blocks 15
and 14, where it holds a 20% interest, and through its operatorship of
Block 15/06 (with a 35% interest), where the company successfully
completed the first exploration campaign with the sanctioning of two
development projects.
This PSC strengthens Eni’s presence in Angola and
reinforces its commitment to deepwater developments. The technological
complexity of these frontier projects requires specific skills and
expertise which are key factors in the company’s success.
Eni has been present in Angola since 1980. Its current
equity production is approximately 130,000 barrels of oil equivalent per
day. This operation positions Angola as one of the core countries in
Eni’s organic production growth strategy.
Alliance Oil and Repsol reach an agreement to form and govern Russian exploration and production joint venture
Repsol Chairman Antonio Brufau and
Alliance Group Chairman Musa Bazhaev have today signed an agreement in
Moscow to form a joint venture that serves as a growth platform for both
companies in the Russian Federation, the world’s largest oil and gas
producer.
This agreement seeks to combine Alliance’s knowledge and
access to exploration and production business opportunities in Russia
with Repsol’s know-how and technological and financing capabilities to
create a long-term exploration and production partnership in Russia.
The joint venture is envisioned to have a total asset
base of approximately $840 million following asset and cash
contributions by the shareholders. Alliance and Repsol will hold a 51%
and a 49% stake respectively in the joint venture.
Under this collaboration, Alliance will transfer its
upstream subsidiaries Saneco and Tatnefteodatcha, which comprise
exploration and production licenses at 14 fields with proven and
probable oil reserves of 171.5 million barrels as of 31st December 2010
and current production of around 20,500 barrels of oil per day.
Alliance’s asset contribution is valued at $570 million. Repsol will
carry out a capital increase in the joint venture and also pay cash to
Alliance to obtain a 49% participation.
In addition to the exploitation of the assets
contributed by Alliance, the agreement envisages the pursuance of growth
opportunities through the joint acquisition of oil and gas assets in
Russia. The joint venture will have preferential rights regarding new
upstream business opportunities identified by either Alliance or Repsol
in Russia. The formation of the joint venture is pending regulatory
approval. Alliance has been advised by Bank of America Merrill Lynch and
Baker & McKenzie and Repsol by Barclays Capital and DLA Piper.
Fairmount Sherpa delivers rig Noble Paul Romano in Egypt
Fairmount
Marine’s powerful tug Fairmount Sherpa has safely towed the
semi-submersible drilling rig Noble Paul Romano from the Gulf of Mexico
to Egypt. The tow was over a distance of close to 8,000 miles.
When contracted by Noble Drilling the Fairmount Sherpa just has completed the installation of FPSO Skarv, offshore Norway.
Fairmount Sherpa was mobilized first to Rotterdam for
supplies and bunkers before it sailed to Jamaica for a rendez-vous with
Noble Paul Romano, which was all ready under tow by tug Svitzer
Rotterdam. Offshore Jamaica Fairmount Sherpa hooked up the tow and the
convoy set sail for San Juan, Puerto Rico, for bunkers.
After the successful crossing of the North Atlantic the
convoy safely arrived at Las Palmas, Canary Islands, for a next bunker
stop. Here Fairmount Sherpa assisted in cargo and personnel transfer for
the Noble Paul Romano as well.
En route Egypt the convoy made a stop in Malta for a
cargo and personnel run for the Noble Paul Ramona before it sailed
towards the mooring position in the North Hap’y oilfield in the Greater
Nile basin offshore Egypt, in the eastern part of the Mediterranean sea.
The satisfied client Noble Drilling hired Fairmount Sherpa for
additional cargo runs in the North Hap’y field.
Fairmount Marine is a marine contractor for ocean towage
and heavy lift transportation, headquartered in Rotterdam, the
Netherlands. Fairmount’s fleet of tugs consists of five modern super
tugs of 205 tons bollard pull each, especially designed for long
distance towing. Fairmount Marine is part of Louis Dreyfus Armateurs
Group.
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Canada lays down filing rules for offshore Arctic drilling
Canada’s National Energy Board, in
an effort to allay public concerns in the wake of the Gulf of Mexico
disaster, released filing requirements for future applications to drill
in the Canadian Arctic Offshore.
“Filing requirements set out the technical information
we will need to see in future applications for offshore drilling in the
Canadian Arctic,” said NEB Chair and Chief Executive Officer Gaetan
Caron.
“These new requirements provide clarity to future
applicants and to those who will provide input into the board’s decision
to approve or deny an application for a well in the Arctic,” Caron
said.
There is currently no offshore drilling in Canada’s
Arctic and no applications for drilling before the board. But companies
now licensed to explore in the Beaufort Sea would still need to respond
to the newly released filing requirements in their applications.
Publication of the filing requirements follows several
months of extensive consultation carried out across the northern areas
of the country during the NEB’s so-called Arctic Review.
“During the Arctic Review, many northern residents
stated that if drilling is to be authorized in the unique Arctic
environment, it must be done right,” NEB said in issuing its report.
The report’s key findings include :
• The root cause of most offshore accidents is the lack
of a broadly shared safety culture. In other words, people don’t do what
they are supposed to do.
• The NEB has the necessary tools to protect the safety of workers, the public and the unique Arctic environment.
• Northern residents want their voices to be heard in
future decisions about offshore drilling, and they want to be involved
in preparing for future drilling projects, in particular in training for
emergencies.
• The NEB has reaffirmed its Same Season Relief Well
Policy. Any company wishing to depart from it in a future application
for a well would have to demonstrate how they would meet or exceed the
intended outcome of the policy, which is to kill an out-of-control well
in the same season in order to minimize harmful impacts on the
environment.
• During the Arctic Review, industry representatives
acknowledged Northern residents’ concerns and committed to engaging
communities in more meaningful ways, as early as possible in their
planning processes.
• Industry representatives also spoke of developing and
offering appropriate training opportunities to northerners to help
prepare them for employment and business opportunities.
Trevor Taylor, policy director with Oceans North Canada,
an arm of the US-based Pew Environment Group, felt the NEB review was
"a positive first step" but he hopes for more clarity on specific
issues.
Taylor said it appears that the NEB will consider the
specifics of each energy company’s safety plan on a case-by-case basis
rather than by setting detailed requirements.
"Our major concern and disappointment with the report is
that some of the clarity on Arctic filing requirements, on emergency
response…is still lacking," he said.
lundi 28 novembre 2011
Le convoi de déchets nucléaires arrivé à son terminus
Après plusieurs
jours de mobilisation des groupements anti-nucléaires sur le trajet, le
dernier convoi de déchets nucléaires allemands en provenance de France a
atteint dans la nuit de dimanche à lundi son terminus ferroviaire à
Dannenberg. Arrivés à 4h04 dans la gare de déchargement, les11
conteneurs transportant des déchets nucléaires allemands retraités en
France vont être chargés sur des camions en direction de l’ancienne mine
de sel de Gorleben. Ce site est reconverti temporairement en lieu de
stockage pour les résidus hautement radioactifs.
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Technip remporte un contrat de service Offshore en mer du Nord norvégienne
Technip
a remporté un contrat de service d’ingénierie auprès de Samsung Heavy
Industries Co Ltd pour le développement du champ de gaz et de condensat
Valemon opéré par Statoil. Ce champ est situé en mer du Nord
norvégienne, à environ 160 kilomètres à l’ouest de Bergen.
Le contrat comprend la conception détaillée,
l’ingénierie de la fourniture des équipements et l’ingénierie de support
dans la phase de construction de l’installation de surface de la
plate-forme fixe Valemon.
Le centre opérationnel de Technip à Kuala Lumpur
(Malaisie) réalisera le contrat, qui devrait être achevé au deuxième
semestre 2012.
Le champ Valemon est l’un des plus importants projets de
développement de Statoil sur le plateau continental norvégien, et
contient des réserves récupérables équivalentes à environ 206 millions
de barils de pétrole.
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Un système ingénieux canadien de chauffage distingué
jeudi 10 novembre 2011
Open Range Energy Corp. Reports Strong Production Growth From Repeated Horizontal Drilling Success
Open Range
Energy Corp. (TSX:ONR) ("Open Range" or the "Company") is pleased to
release third-quarter 2011 financial and operating highlights and an
update on exploration and production operations at the Company’s core
Ansell/Sundance Deep Basin property.
Following the recent tie-in of multiple new horizontal
Wilrich wells, current net production is over 5,000 boe per day,
operations with two drilling rigs are ongoing and Open Range is on-track
to exit 2011 at its guidance of 6,200 boe per day.
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Falkland well proves oil and gas extension
SALISBURY, UK – Rockhopper Exploration has found oil and gas while drilling the Casper prospect in the North Falkland basin.
The semisub Ocean Guardian drilled well 14/10-9 5.9 km
(3.6 mi) southwest of the Sea Lion 14/10-2 discovery well toward the
southern edge of license PL032. It was designed to penetrate multiple
targets in Casper, the Sea Lion Main Complex, and the Kermit structure.
The well was successful in both Casper and Sea Lion,
proving a good-quality reservoir package and oil column. In Kermit, the
well encountered good-quality sands with oil shows.
Casper was penetrated in an updip position west of the
structural low, around 4.8 km (2.9 mi) west of the 14/10-8 well.
Reservoir quality was good with porosity of up to 27% and permeability
of up to 232 md.
Wireline logging and formation testing suggest 8.4 m
(27.5 ft) of net gas pay above 9.6 m (31.5 ft) of net oil pay.
Rockhopper says the presence of a gas cap would likely enhance oil
productivity from Casper, and development of Sea Lion could include this
location for a potential gas disposal well.
At the Sea Lion Main Complex (SLMC), the well penetrated
both the SL10 and SL20 lobes, with reservoir porosity of up to 27% and
permeability of up to 1285 md.
Net oil pay was 22 m (72 ft) in the SL10 and 14 m (46
ft) in the SL20. Also evident was a free water level with a 10-m (33-ft)
transition zone above at 2,501 m (8,205 ft) at the base of the SLMC.
As for Kermit, reservoir sands were water wet with shows.
Rockhopper next plans to side track the well in order to
core both the Casper and Sea Lion formations. After completion of this
work, the well will be plugged and abandoned.
In the same region, Rockhopper has received regulatory
approvals to assume operatorship from Desire Petroleum of license
PL004b. After the current well is completed, a well will be drilled here
6.3 km (3.9 mi) southwest of the 14/10-9 well, targeting the most
southerly extent of the SLMC and also the Beverley prospect.
Commercial gas deliveries through Nord Stream started
Celebrations
were held at a gas metering station near the town of Greifswald
(Germany). The celebrations were dedicated to the commissioning of the
first string of the Nord Stream gas pipeline.
Taking part in the celebrations were Dmitry Medvedev,
Russian President, Angela Merkel, German Chancellor, Francois Fillon,
French Prime Minister, Mark Rutte, Dutch Prime Minister, Erwin
Sellering, Minister President of Mecklenburg-Western Pomerania, Guenther
Oettinger, EU Commissioner for Energy, Alexey Miller, Chairman of the
Management Committee, Gazprom, Kurt Bock, Chairman of the Board of
Executive Directors, BASF SE, Johannes Teyssen, Chairman of the Board of
Management and CEO, E.ON AG, Klaus Schaefer, Chairman of the Board of
Management, E.ON Ruhrgas AG, Gerard Mestrallet, Chairman of the Board
and CEO, GDF SUEZ, Paul van Gelder, Chairman of the Executive Board and
CEO, Gasunie, Gerhard Schroeder, Chairman of the Shareholders’
Committee, Nord Stream AG, Matthias Warnig, Managing Director, Nord
Stream AG.
“Together with our partners we have successfully made a
unique Nord Stream pipeline, which has no analogs in the world. For the
first time the Russian and European gas transmission systems are
connected directly. Russia, Germany, France and the Netherlands today
started commercial deliveries of Russian natural gas through Nord Stream
and together guarantee long-term energy security of Europe. Today we
start not just the first thread of one of gas pipelines – we open a new
export gas-transport corridor,” said Alexey Miller.
“Nord Stream connects the major Russian reserves in
Siberia directly with the internal European market and gives Europe’s
households and industry secure access to important energy resources in
the global race for raw materials. For this reason, BASF has been
committed to Nord Stream from the early stages as one of the first
partners of Gazprom and is also heavily involved in the two connecting
pipelines OPAL and NEL. Both these pipelines are central elements of the
Nord Stream project and connect the Baltic Sea pipeline with the
European natural gas network. Overall, the realization of the project
strengthens the energy partnership between Russia and Europe and
contributes to a long-term, secure supply of energy,” said Kurt Bock
Saft équipera en batteries les 81 satellites du projet Iridium
Saft
vient de remporter un contrat de plusieurs millions d’euros avec Thales
Alenia Space, maître d’œuvre du programme, pour la fourniture de toutes
les batteries Li-ion embarquées d’Iridium NEXT, la constellation de
satellites en orbite terrestre basse, dits satellites LEO (low-Earth
orbit), dont les premiers lancements sont prévus pour 2015.
Ce contrat portant sur un total de 81 systèmes de
batterie conforte Saft dans sa position de premier fournisseur mondial
de batteries de technologie de pointe pour les applications spatiales.
« Ce contrat majeur pour le projet Iridium NEXT est une
importante avancée dans la stratégie de Saft, qui entend s’affirmer
comme le leader du très important marché des satellites LEO en
s’appuyant sur sa solide réputation de fournisseur de batteries de
pointe, fiables et de haute performance pour satellites GEO et véhicules
spatiaux. Il conforte également les excellentes relations nouées avec
Thales Alenia Space dans le cadre des plateformes telles que les
satellites GEO Spacebus et LEO Proteus », a déclaré Philippe Jehanno,
Directeur général de la division Espace & Défense de Saft. « Nous
avons déjà de considérables succès à notre actif sur le marché des
constellations LEO, mais nous franchissons véritablement une nouvelle
étape avec le contrat Iridium NEXT, car son volume demande la mise en
place d’un processus de fabrication adapté à une démarche de production
en série ».
Iridium NEXT conservera l’architecture de la
constellation Iridium actuelle, la plus grande constellation du monde,
constituée de 66 satellites LEO à liaisons croisées couvrant
l’intégralité de la planète. Cependant, Iridium NEXT améliorera et
développera sensiblement les services de communication mobile d’Iridium
grâce à une plus grande vitesse de transmission des données, à de
nouveaux services et dispositifs puissants, aux avantages de la
technologie IP et à la rétrocompatibilité avec les combinés, dispositifs
et applications actuels. Outre les 72 satellites opérationnels – dont 6
satellites de rechange en orbite – le projet Iridium NEXT comprend 9
satellites de rechange au sol, soit un total de 81.
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Menace sur un million d’emplois en cas de sortie du nucléaire, selon Henri Proglio
[ACTUALISE]
- Après avoir annoncé le 8 novembre que l’abandon de l’atome en France
pourrait coûter cher, le patron d’EDF revient à la charge dans une
interview au Parisien le 9 novembre.
Selon Henri Proglio, le nombre d’emplois supprimés en cas de sortie du nucléaire en France est estimé à environ un million.
Dans le détail, il estime que 400 000 emplois seraient
alors directement ou indirectement menacés. A ce chiffre s’ajouteraient
encore 500 000 autres postes dans les entreprises actuellement
localisées en France et qui utilisent beaucoup l’énergie, comme
l’aluminium. Ces sociétés pourraient en effet partir à l’étranger, selon
Henri Proglio.
Enfin, le patron juge que 100 000 emplois futurs dans le
cadre du développement du nucléaire mondial ne seraient pas créés.
Le patron d’EDF chiffre à environ 0,5 à 1 point l’impact d’une sortie du
nucléaire sur le PIB. Le groupe compte actuellement un parc de 60
centrales nucléaires.
Les propos de son patron interviennent au moment où le
débat sur la sortie du nucléaire se fait de plus en plus vif en France.
Notamment, les négociations entreprises entre le parti socialiste et le
parti écologiste EEVL en vue de la présidentielle de 2012 ont été
rompues le 8 novembre. Et ce, après que François Hollande annonce qu’il
entend poursuivre la construction de l’EPR de Flamanville.
Eva Joly, candidate à la présidentielle sous l’étiquette
EEVL, dénonce la mauvaise foi et les manipulations du patron d’EDF.
Dans une lettre ouverte aux syndicats de l’énergie, elle affirme que
"loin de ces caricatures, de ces manipulations, il faut rétablir des
faits et engager l’avenir énergétique de notre pays". Elle explique que
les salariés du nucléaire peuvent être les premiers à bénéficier de la
transition énergétique et des emplois qui doivent en découler.
L’inauguration du gazoduc Nord Stream renforce la sécurité d’approvisionnement en gaz naturel de l’Europe et de la France
Le
8 novembre, la Chancelière fédérale allemande Angela Merkel ainsi que
le Président russe Dmitry Medvedev, les premiers ministres français
François Fillon et hollandais Mark Rutte et le Commissaire européen à
l’énergie Günther Oettinger ont inauguré officiellement la première
ligne du gazoduc Nord Stream entre la Russie et l’Europe.
Nord Stream est une réalisation majeure pour la Russie,
l’Europe et GDF SUEZ. Il constitue en effet une nouvelle route
d’acheminement du gaz naturel, plus directe, entre l’un des tout
premiers pays producteurs et l’Europe de l’ouest. La diversification des
sources ainsi que des routes d’acheminement du gaz naturel garantit la
sécurité d’approvisionnement des clients du Groupe, tant en France qu’en
Europe.
Lors de l’inauguration de Nord Stream, Gérard
Mestrallet, Président Directeur général de GDF SUEZ, Groupe
coactionnaire du projet à hauteur de 9%, a déclaré : « Nord Stream est
un gazoduc d’une importance stratégique pour l’Europe. GDF SUEZ est fier
de participer à ce projet d’envergure. Véritable défi technique et
industriel, il contribue de manière significative à la sécurité
d’approvisionnement du Nord-Ouest de l’Europe où le Groupe est l’un des
plus importants énergéticiens et fournit des millions de clients tant en
gaz naturel qu’en électricité ».
Le portefeuille d’approvisionnement en gaz naturel de
GDF SUEZ est l’un des plus diversifié d’Europe. Il représente un volume
annuel de 110 milliards de m3. Avec la mise en place de Nord Stream, le
Groupe bénéficiera de volumes additionnels en gaz naturel provenant de
Russie à hauteur de 2,5 milliards de m3 par an.
A propos de Nord Stream
Nord Stream trace une nouvelle route d’acheminement du gaz russe vers
l’Europe. D’une longueur de 1 224 km, ce gazoduc sous-marin, composé de
deux lignes parallèles, relie Portovaya Bay (près de Vyborg) à la côte
allemande (près de Greifswald) à travers la mer baltique. La première
ligne de Nord Stream, achevée et en service, a une capacité de 27,5
milliards de m3 par an. La construction de la seconde tranche du gazoduc
d’ici fin 2012 permettra d’augmenter sa capacité à 55 milliards de m3.
Le projet Nord Stream est conduit par Nord Stream AG
chargé de l’étude, la construction et l’exploitation future du gazoduc
sous-marin. Les actionnaires de Nord Stream AG sont : Gazprom (51%),
Wintershall Holding et E.ON Ruhrgas (15,5 % chacun), Gasunie et GDF SUEZ
(9% chacun).
La coopération entre Gazprom et GDF SUEZ dans
l’approvisionnement en gaz naturel a débuté en 1975. Au total, plus de
310 milliards de m3 de gaz naturel ont été livrés à GDF SUEZ. En
décembre 2006, Gazprom et GDF SUEZ ont signé un accord sur le
renouvellement des contrats de fourniture jusqu’en 2030.
Vic-en-Bigorre. Feu à l’usine agroalimentaire Actalim
Hier
matin, vers 8 heures, un feu s’est déclaré dans l’usine Actalim à
Vic-en-Bigorre. L’usine fabrique des aliments pour la filière volailles
(canards et porcs) du groupe Euralis. Un court-circuit s’est produit
dans un boîtier électrique qui sert à faire fonctionner l’extraction des
tourteaux de colza dans un tunnel juste en dessous des silos. Classée
Atex (Atmosphères explosives), l’usine a déclenché immédiatement la
procédure de sécurité en vigueur.
« Au départ, on craignait que le feu bloque l’usine mais
finalement, il n’a interrompu qu’une partie minime de la production
durant quelques heures », explique son responsable Didier Camguilhem.
Le site emploie 26 salariés et produit 185.000 t
d’aliments par an pour les produits sous signe de qualité des filières
du groupe Euralis.
lundi 24 octobre 2011
Un gisement gazier "géant" découvert au large du Mozambique
ENI a annoncé
jeudi avoir découvert un "gisement géant" de gaz naturel dans la zone de
prospection "Mamba Sud" sur le puits numéro 1, situé au large du
Mozambique, ce qui constitue la "plus grande découverte jamais
effectuée" par le groupe en tant qu’opérateur.
Le pétrolier italien estime dans un communiqué que cette
découverte "impressionnante" peut conduire à un potentiel dans la zone
sud d’au moins "15 trillion cubic feet" (ou 425 milliards de m3) de gaz.
Le forage du premier puits (sur les 4 étudiés) a été
réalisé précisément à une profondeur d’eau de 1.585 mètres à environ 40
km au large des côtes de la province de Cabo Delgado, basée dans le Nord
du Mozambique. "Les résultats obtenus dépassent les attentes" et
montrent que cette zone est "une nouvelle province du gaz d’importance
mondiale", d’après le groupe italien.
Après avoir foré ce puits jusqu’à atteindre une
profondeur d’environ 5.000 mètres et réalisé des essais quantitatifs,
ENI indique que la plate-forme d’exploration poursuivra ses travaux sur
le second puits, Mamba Nord 1.
Le bassin du Rovuma abrite 5 concessions : ENI, Artumas
(Canada), Anadarko (Etats-Unis), Statoil (Norvège) et Petronas
(Malaisie). Avec 70% de participation, ENI demeure l’opérateur des 4
zones offshores. Les autres compagnies concernées sont Galp Energia
(10 %), KOGAS (10 %) et de ENH (10 %).
A vendre : plateforme pétrolière, bon état général
Le
groupe pétrolier Statoil cherche à se débarasser de la plateforme
Huldra, dans la mer du Nord. Le gisement est bientôt épuisé, et le
démantellement coûte cher. Statoil a donc passé une petite annonce :
"plateforme en bon état à vendre : 20 chambres, vue panoramique sur la
mer, espace généreux pour hélicoptère". L’acquéreur ne paiera qu’une
couronne suédoise symbolique, mais il devra régler le bateau pour se
rendre sur place.
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AGZ Holding, filiale d’UGI Corporation, et société mère d’Antargaz a acquis les activités GPL de Shell Gas au Benelux
Le
groupe ANTARGAZ au Benelux est composé des sociétés Antargaz Belgium
n.v., Antargaz Nederland b.v. et Antargaz Luxembourg s.a. Il est le
leader de la distribution de GPL sur les marchés du Benelux.
Ce changement d’actionnaire n’entraîne aucune
modification des activités des sociétés concernées au Benelux, les
organisations en place et la qualité des services apportés aux clients
restent inchangées.
ANTARGAZ propose des solutions performantes qui
répondent aux besoins des clients sur les marchés domestiques,
professionnels et industriels ainsi que pour les réseaux de gaz des
collectivités.
Les bouteilles de butane et de propane sont distribuées dans plus de 1 000 points de vente au Benelux.
Suite à cette acquisition, ANTARGAZ Benelux fait partie
d’un groupe dont la mission principale est la distribution de gaz avec
un engagement de développement et d’innovation sur ses marchés au
service de la satisfaction des clients.
La marque ANTARGAZ est une marque leader sur les marchés
du GPL depuis plus de 60 ans. Ses principales valeurs sont la proximité
vis-à-vis des clients, la sécurité, le respect de l’environnement,
l’expérience et une politique d’innovation régulière au service de ses
clients.
ANTARGAZ est filiale du groupe UGI, un leader mondial de
la distribution de GPL, n°1 aux Etats-Unis avec de fortes positions
dans 15 pays d’Europe ainsi qu’une activité en Chine.
Le Groupe UGI est un groupe énergétique diversifié,
présent également dans le gaz naturel, l’électricité et les services
liés à l’énergie.
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lundi 3 octobre 2011
La Socatri reconnue coupable de "déversement de substance toxique"
Nouvelle
étape judiciaire pour la filiale d’Areva. Jeudi 30 septembre, la
Socatri (filiale d’Areva) a été reconnue coupable par la cour d’appel de
Nîmes (Gard) du délit de "déversement de substance toxiques, dans les
eaux souterraines ayant entraîné une modification significative du
régime normal d’alimentation des eaux".
Cette décision fait suite à une fuite d’uranium en
juillet 2008 qui avait rejeté 74 kg d’uranium dans les sols et le réseau
hydraulique adjacent à la centrale (canaux et rivières). L’incident,
alors classé au niveau 1 de l’échelle Ines (qui en compte 7), avait
entraîné la mise en place de mesures de précaution par Areva, ainsi que
le limogeage du directeur.
Dans sa décision, la cour d’appel de Nîmes a condamné la
Socatri à une amende de 300 000 euros, assortie de dommages et intérêts
à hauteur de 20 000 euros pour chaque association constituée partie
civile (Greenpeace, Sortir du nucléaire, Les Amis de la Terre, France
Nature Environnement,…). La Socatri devra aussi verser 10 000 euros pour
préjudice moral, à une dizaine de riverains du site.
"C’est la première fois qu’un exploitant d’une
installation nucléaire est condamné pour pollution. Cette jurisprudence
fait rentrer dans le droit commun la pollution nucléaire au même titre
que les autres formes de pollutions", se réjouit Benoist Busson,
représentant de France Nature Environnement.
En octobre 2010, le tribunal de Carpentras (Vaucluse)
avait relaxé la Socatri "du délit de pollution des eaux ayant causé un
effet nuisible sur la santé ou des dommages à la flore ou à la faune". A
l’inverse, il l’avait rendue "coupable du délit d’omission de
déclaration sans délai à l’Autorité de sûreté nucléaire et au
représentant de l’Etat" la condamnant à une amende de 40 000 euros.
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Technip remporte un contrat majeur pour un système de production accéléré sur le champ Mariscal Sucre au Venezuela
Technip
a remporté un contrat majeur de fourniture des équipements,
d’installation et de support opérationnel auprès de Petroleos de
Venezuela S.A. (PDVSA) couvrant les installations subsea, onshore et
offshore d’un système de production accéléré pour le développement de
Mariscal Sucre Dragon, au large du Venezuela.
Le champ Mariscal Sucre Dragon est situé à environ 40
kilomètres au Nord de la péninsule de Paria, dans l’Etat de Sucre au
Venezuela, par une profondeur d’eau de 100 à 130 mètres.
Le projet comprend :
la fourniture et l’installation des flowlines sous-marines,
la fourniture et l’installation des équipements de traitement du gaz à terre,
le support opérationnel pour les installations subsea, onshore et offshore.
la fourniture et l’installation des équipements de traitement du gaz à terre,
le support opérationnel pour les installations subsea, onshore et offshore.
Thierry Pilenko, Président-Directeur Général de Technip,
a déclaré : « ce projet capitalise sur les relations solides
développées avec PDVSA durant les travaux en cours. Il nous permet de
concentrer au bénéfice de notre client l’expertise, le savoir-faire et
les compétences issus de tous nos secteurs d’activité et démontre la
force de notre présence mondiale et de notre modèle d’intégration
couvrant les domaines subsea, onshore et offshore. »
Technip France a signé ce contrat qui sera enregistré
dans le carnet de commandes du segment Subsea du Groupe aux troisième et
quatrième trimestres. Les centres opérationnels de Technip en Amérique
du Nord et au Royaume-Uni et le Consortium COFRI/Ditech participeront
également à la réalisation du contrat.
First Solar vend son parc solaire Californien de 550 MW
La
compagnie américaine First Solar a annoncé dimanche avoir vendu l’un
des plus grands projets d’énergie solaire photovoltaïques (PV) au monde,
le parc solaire de 550 mégawatts (MW) dénommé Desert Sunlight, situé
près de Desert Center, en Californie.
First Solar, qui par la suite a l’intention de
développer, d’opérer et de garder le projet sous des accords séparés, a
céder le projet aux associés de NextEra Energy Resources, la filiale de
NextEra Energy et GE Energy Financial Services.
Grâce à la transformation de la lumière du soleil en
électricité, le projet d’énergie solaire sera en mesure de fournir de
l’électricité renouvelable et abordable à environ 160 000 foyers
californiens, et de réduire de 300 000 tonnes par an les émissions de
gaz à effet de serre.
Le projet se situe à 56 km à l’ouest de Blythe et à 10
km au nord de Desert Center, au coeur de la Chuckwalla Valley, et
s’étend sur environ 1.540 hectares de terrain. Environ 80 hectares
supplémentaires sont également assignés aux infrastructures liées au
projet. First Solar installera des modules photovoltaïques en couches
minces provenant en partie de sa nouvelle usine de 300 millions de
dollars située à Mesa en Arizona.
Aker Solutions has won a contract to conduct the basic engineering for the development of Total’s Hild field in the Norwegian North Sea
Aker Solutions’
scope of work includes engineering for several building blocks,
including topside, jacket, an FSO (floating storage and offloading),
turret and mooring, SURF (subsea umbilicals, risers, pipelines and
flowlines) and transportation and installation. The work will be
completed in the summer of 2012. Basic engineering work covers a greater
level of detail than a normal FEED (Front-end, engineering and design)
study for field developments.
The topside engineering will be done from Aker
Solutions’ head offices in Oslo, Norway, while the turret and mooring
work will be conducted in Kristiansand, Norway. Aker Solutions has
previously completed a pre-project/pre-basic engineering study for the
field. The contract party for Aker Solutions is Aker Engineering &
Technology AS.
Hild
Hild is an oil and gas field located in the North Sea, about 160 km
offshore and 42 km west of the Oseberg field. The water depth is 100-120
metres. The licence owners include the operator TOTAL E&P NORGE AS
(which owns 49%), Statoil (21%) and Petoro (30%).
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BOEMRE division completes DOI offshore resources restructuring
The US
Department of the Interior will complete restructuring of its federal
offshore resources management with the division of the Bureau of Ocean
Energy Management, Regulation, and Enforcement into two separate
agencies on Oct. 1. The smaller agencies will be more nimble and better
able to concentrate on solving problems, Interior Sec. Ken Salazar said.
The need to restructure the agency formerly known as the
Minerals Management Service was apparent before the Macondo well
accident and crude oil spill in 2010, Salazar told reporters during a
Sept. 30 briefing at DOI headquarters. Moving its revenue and
royalty-collection responsibilities to the newly formed Office of
Natural Resources Revenue (ONRR) under DOI’s assistant secretary for
policy, management, and budget on Oct. 1, 2010, was only the first step
in separating MMS’s conflicting missions, he said.
Completing the restructuring will be BOEMRE’s division
into the Bureau of Ocean Energy Management (BOEM), which will be
directed by Tommy P. Beaudreau, a BOEMRE senior advisor, and the Bureau
of Safety and Environmental Enforcement (BSEE), which BOEMRE Director
Michael R. Bromwich will lead until a permanent director can be
appointed, Salazar noted.
Bromwich, who joined Beaudreau and Salazar at the
briefing, said the 15 months since his appointment as BOEMRE director
has been “packed with activity with a real-world consequence : improving
offshore oil and gas safety.” He added, “This will continue. We’ve
reinvigorated a focus on ethics. We’ve developed recusal mechanisms to
avoid conflicts of interest with our inspectors. Most important, we’ve
shown that this agency—and, starting tomorrow, pair of agencies—must
have adequate resources to do the job, something that has been missing
for 28 years.”
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mardi 13 septembre 2011
STX Finland signs contract for two well intervention vessels for Eide Marine Services
STX Finland Oy and Eide Marine Semi
AS, a subsidiary of Eide Marine Services A/S, have signed a contract for
the outfitting, completion and delivery of two highly sophisticated
well intervention vessels with an aggregate contract value exceeding EUR
300 million.
The technically advanced well intervention vessels with
deadweight of 31,000 tons will have a length of 122 meters and a width
of 45 meters. The vessels are designed to operate in rough open sea
conditions on Brazilian continental shelf. Vessels have innovative
hullforms securing high seakeeping characteristics together with DP3
dynamic positioning system and truster arrangement. Large deck area
provides opportunity to arrange all well serving equipment in most
efficient way.
The project will create a high outfitting work load for
STX Finland and its network. The work on the first hull will begin at
STX Rauma shipyard in April 2012 and on the second hull in June 2012.
The intervention vessels will be delivered from Rauma shipyard in March
2013 and June 2013. The contract is subject to certain financing
conditions.
The contract shows STX Finland’s ability to provide
competitive services and win significant contracts in this highly
sophisticated and demanding offshore business segment. The contract is
also an important part of STX Finland’s diversification strategy, in
which the company is continuing to expand its operations into new
business areas such as offshore business segment.
"The outfitting contract for Eide Marine Services is a
very important project for STX Finland. It shows that our strategic plan
to expand our product and services portfolio,and to improve our global
competitiveness and presence, has been successful",says Timo Suistio,
COO of STX Finland. "The project is very challenging both in terms of
amount of outfitting work and the management of several global
networking entities." continues Suistio.
Explosion sur un site nucléaire de Marcoule : 1 mort
Le
gouvernement a confirmé par le canal du ministère de l’Écologie, du
Développement Durable, des Transports et du Logement, l’explosion d’un
four sur le site nucléaire de Marcoule, dans le Gard, entraînant "la
mort d’une personne et en blessant 4 autres dont une gravement."
Nathalie Kosciusko-morizet sera sur place vers 17h15
afin de faire le point sur la situation avec la cellule de crise mise en
place localement.
L’accident est survenu à Marcoule (84) sur le site de
Centraco (filiale d’EDF), un centre nucléaire de traitement et de
conditionnement. Ce site comporte de très nombreuses installations
nucléaires, stocke de grandes quantités de déchets radioactifs et
manipule du MOX, donc du plutonium.
"A 12h37, une explosion est survenue dans un four de
fusion de métaux entrainant Centraco étant spécialisé dans le traitement
des déchets très faiblement radioactifs, la ministre a tenu à venir
personnellement pour avoir une évaluation précise des éventuels impacts
radiologiques de cet accident" a indiqué le cabinet ministériel. Et
d’ajouter : "A ce stade, aucun impact à l’extérieur n’a été détecté,
mais des inspections et des mesures sont en cours de réalisation à
l’intérieur du bâtiment."
Les réactions se font de plus en plus entendre dont
celles de France Nature Environnement (FNE) qui estime que "ce nouvel
accident souligne les problèmes de maîtrise du risque nucléaire et
technologique en France", et cela "à quelques mois de la catastrophe de
Fukushima, et à quelques jours de la commémoration des 10 ans d’AZF."
De son côté, la secrétaire nationale d’Europe
Ecologie-Les Verts, Cécile Duflot, a publié sur son compte Twitter
vouloir "la plus grande transparence" et "en temps réel."
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Le Japon va revoir sa stratégie énergétique
D’ici à l’été 2012, le Japon devrait définir une nouvelle politique énergétique de long terme.
A l’occasion de son discours de politique générale, le
nouveau Premier ministre japonais a annoncé que l’Etat allait repenser
totalement sa stratégie énergétique. Une conséquence de l’accident de
Fukushima survenu après le séisme du 11 mars.
Précisément, le gouvernement japonais pourrait "réduire autant que
possible la part de l’électricité d’origine atomique". Et ce, au profit
des énergies renouvelables. "Nous allons repartir d’une page blanche et
présenter d’ici à l’été prochain un nouveau plan énergétique à l’horizon
2030", explique le Premier ministre.
Cette annonce est un changement de stratégie total par
rapport à la politique présentée par le gouvernement avant la
catastrophe de Fukushima. A l’époque le Japon prévoyait d’élever à plus
de 50% la part de l’électricité d’origine nucléaire.
Mais la catastrophe du 11 mars a modifié la donne.
Actuellement, seuls 11 réacteurs nucléaires sur 54 sont en activité et
cinq de plus devraient être arrêtés pour maintenance d’ici à la fin de
l’année. Le Premier ministre a notamment précisé le 13 septembre qu’une
fois "la sécurité assurée, les réacteurs hors service pour entretien
régulier seraient remis en activité". Mais toute nouvelle tranche est
désormais gelée.
Cette nouvelle stratégie énergétique de l’Etat semble
indispensable pour les entreprises du pays. Elles réclament en effet la
garantie d’un approvisionnement stable en électricité et de nouvelles
pistes concrètes pour leur permettre de définir leurs orientations
industrielles, notamment dans le domaine des nouvelles énergies.
Pétrole Guyanais : "un potentiel économique majeur"
Le gouvernement
français a réagi vendredi à la découverte d’hydrocarbures au large de
la Guyane par la société « Tullow Oil » et (il) estime que cela pourrait
représenter à terme "un potentiel économique majeur."
Cependant, il a également exprimé une certaine prudence
par rapport aux remarques de la société « Tullow Oil », car si "la
présence d’hydrocarbures a effectivement été détectée, cela ne signifie
pas encore l’existence d’un réservoir exploitable."
En effet, pour exploiter du pétrole de manière pérenne dans les eaux guyanaises, il est nécessaire de poursuivre les recherches.
Il convient pour cela dans un premier temps de
poursuivre le forage en cours pour le mener à son terme afin de
confirmer la tendance, en principe d’ici la fin de l’année 2011.
Ensuite, il faut procéder à un ou plusieurs autres forages d’exploration
afin de confirmer l’existence d’un réservoir exploitable. Et enfin,
l’installation d’une exploitation devient possible, si ces forages de
recherche sont positifs, ce qui ne pourra se faire avant plusieurs
années.
Le forage en cours est sous la surveillance du Préfet de
la Guyane. L’Etat rappelle que toutes les garanties de sécurité,
notamment environnementales, devront être réunies pour la poursuite de
cette exploration. De plus, il veillera tout à ce que les collectivités,
les entreprises locales et plus généralement la population de la Guyane
bénéficient des retombées économiques.
JOURNEES ANNUELLES DES HYDROCARBURES 2011
12-13 Octobre 2011
Paris - Palais des congrès - Porte Maillot
Organisées chaque année par l’Aftp et le Gep, les
Journées Annuelles des Hydrocarbures sont l’occasion de réunir les
acteurs des industries pétrolières, gazières et du parapétrolier pour
échanger sur les grandes évolutions de ces secteurs.
Ces journées rassemblent des représentants des
compagnies nationales et internationales, des pays producteurs, des
sociétés d’études, de services et fournisseurs d’équipements, des
experts techniques internationaux et des représentants des
Administrations françaises et européennes.
mercredi 7 septembre 2011
ConocoPhillips contraint de stopper une production offshore
La
société ConocoPhillips a cessé l’exploitation du plus grand gisement de
pétrole offshore de Chine sur injonction de Pékin, car le pouvoir
central accuse la compagnie américaine d’avoir caché la gravité d’une
marée noire, s’étalant sur plusieurs milliers de km2.
"La production de pétrole a été interrompue dimanche
soir au gisement Penglai 19-3, qui est le plus important site
d’extraction de pétrole offshore de ConocoPhillips en Chine", a déclaré
hier à l’AFP Mme Donna Xue, l’un des porte-parole de la société. Le
gisement Penglai 19-3 représente non seulement la plus grosse découverte
de champs pétrolifère au large des côtes chinoises mais c’est également
l’une des principales réserves d’or noir disponible en Chine.
L’organe officiel d’information du Parti communiste
chinois - le Quotidien du Peuple - a accusé ConocoPhillips d’être
"indifférent" face aux dégâts causés à l’écosystème marin situé dans le
golfe du Bohai (nord-est). L’équivalent de 3.200 barils de matières
polluantes se seraient échappées de deux plateformes gérées
conjointement par ConocoPhillips et la société étatique chinoise CNOOC.
De son côté, ConocoPhillips a récusé toute
"dissimulation" et a fait part de son entière responsabilité. "Nous
sommes l’opérateur et nous acceptons de prendre l’entière responsabilité
pour ce qui s’est produit sur le champ", a déclaré à l’AFP John Roper,
autre porte-parole de ConocoPhillips. "Nous avons immédiatement rapporté
l’accident aux autorités compétentes, et de façon aussi complète que
possible", a-t-il ajouté.
Alors que la compagnie américaine avait affirmé mercredi
avoir presque finaliser la réparation des dégâts occasionnés dans le
golfe du Bohai, l’organisme en charge de la gestion des océans (SOA) a
déclaré que "la situation n’était pas résolue." Elle a pour se faire
utilisé les gros moyens, puisque des satellites, des avions et des
robots sous-marins ont été employés.
Au final, selon le Crédit Suisse, cité par l’agence Dow
Jones, la production nette de la CNOOC pourrait enregistrer une baisse
de 8 millions de barils en 2011, soit un recul de 2,3% par rapport à ses
prévisions, si les opérations à Penglai 19-3 restaient à ce stade.
Vallourec inaugure sa nouvelle usine au Brésil
Vallourec, leader mondial des
solutions tubulaires premium, annonce l’inauguration ce jour de sa
nouvelle aciérie et tuberie au Brésil, en présence de Dilma Rousseff,
Présidente du Brésil et Antonio Anastasia, Gouverneur de l’État du Minas
Gerais. Ce vaste projet, lancé en 2007, s’inscrit dans la continuité de
la stratégie de croissance internationale impulsée par Jean-Paul
Parayre, président du Conseil de Surveillance depuis 2000. Le Brésil y
tient, depuis cette date, une importance prépondérante.
Créée dans le cadre d’un accord de co-entreprise avec le
japonais Sumitomo Metals, Vallourec & Sumitomo Tubos do Brasil
(VSB) est détenue à 56% par Vallourec et 44% par Sumitomo Metals et
Sumitomo Corporation. La construction de la nouvelle usine, entamée en
2008, est désormais achevée et la production est en phase de démarrage.
Située à Jeceaba, dans l’État du Minas Gerais, à
proximité des autres entités brésiliennes de Vallourec, VSB est une
usine intégrée, produisant billettes d’acier et tubes en acier sans
soudure. Elle bénéficie d’un accès direct aux matières premières
fournies par deux filiales de Vallourec spécialisées dans l’extraction
de minerai de fer et dans la production de charbon de bois. Complexe
industriel unique doté des toutes dernières technologies, l’usine
s’étend sur 250 ha et comportera une aciérie équipée de deux hauts
fourneaux et d’un four électrique, une tuberie haut de gamme, et un
ensemble de lignes de traitement thermique, de filetage et de finition.
VSB emploiera 1 600 personnes et sa capacité de production s’élèvera à 1
million de tonnes d’acier (dont 300 000 tonnes pour les besoins propres
de Vallourec, hors VSB) et 600 000 tonnes de tubes, dont 300 000 tonnes
pour Vallourec. Elle permettra au Groupe d’augmenter sa capacité de
production de tubes de plus de 10%. Elle servira les marchés
internationaux du pétrole et gaz, en particulier de l’Afrique de
l’Ouest.
Philippe Crouzet, Président du Directoire de Vallourec a
déclaré : « Présent depuis 1952 dans l’Etat du Minas Gerais par sa
filiale V & M do BRASIL, Vallourec a choisi de continuer de s’y
développer avec cette nouvelle usine car il bénéficie localement de tous
les facteurs de compétitivité, aussi bien les ressources naturelles
(minerai de fer, charbon), que les infrastructures et la main-d’œuvre
qualifiée. Cette usine est une nouvelle étape dans le développement
stratégique de Vallourec. Elle lui permet de soutenir les ambitions de
ses clients internationaux et de satisfaire leurs besoins en tubes
premium pour le pétrole et le gaz. »
L’appel d’offres pour l’éolien offshore remis en cause
Un recours gracieux a été engagé à
l’encontre des ministères de l’Ecologie et de l’Economie et des Finances
le 5 septembre. Il porte sur l’appel d’offres lancé en juillet pour
développer l’énergie éolienne en mer.
C’est la Fédération environnement durable (FED), qui est
à l’origine de ce recours. Elle conteste la construction de ces champs
d’éoliennes, qui représenterait à chaque fois environ l’équivalent de la
surface de la ville de Paris. L’objectif de la fédération est donc de
stopper la construction et ainsi éviter des nuisances visuelles, dues à
la taille et à la luminosité des éoliennes.
La fédération n’est pas seule porteuse du recours. Elle
est soutenue par des associations de riverains créées face aux sites
concernés par l’appel d’offres, comme par exemple au large de Tréport ou
de Courseulles-sur-mer.
L’appel d’offres a été lancé le 11 juillet dernier par
le gouvernement. L’objectif étant d’implanter sur cinq sites un total de
600 éoliennes d’une puissance de 3.000 mégawatts. Cette opération
représente un investissement de dix milliards d’euros et doit permettre
d’atteindre l’objectif européen de 20% d’énergies renouvelables dans la
consommation d’électricité en 2020.
Murphy to sell Meraux refinery to Valero
Murphy Oil Corp. has agreed to sell
its 125,000 b/d refinery in Meraux, La., and related properties to
Valero Energy Corp. for $625 million.
Murphy, which is withdrawing from the refining business,
agreed in July to sell its 33,250 b/d refinery in Superior, Wisc., to
Calumet Specialty Products Partners, Indianapolis (OGJ Online, July 26,
2011).
Of the purchase price, an estimated $300 million is for
oil inventories at Meraux. The refinery has 37,000 b/d of fluid
catalytic cracking capacity and extensive hydrotreating capacity.
The company announced last year that it would sell its
three refineries in order to concentrate on exploration and production
(OGJ Online, July 23, 2010). David M. Wood, Murphy president and chief
executive officer, said the company now will focus on selling its
106,000 b/d refinery in Milford Haven, Wales.
Valero’s agreement to purchase the Meraux facility
follows the completion last month of its purchase of the 220,000 b/d
refinery at Pembroke, Wales, from Chevron Corp., which it announced in
March (OGJ Online, Mar. 11, 2011). Valero paid $730 million for the
refinery plus marketing and logistical assets and expected to pay $1
billion for inventories.
BP Responds to Halliburton Lawsuit
BP is aware of the
claims filed against the company on 1 September 2011 by Halliburton.
The company is now reviewing the contents of the claims and until this
is complete cannot comment in detail.
However, BP believes this lawsuit is the latest attempt
by Halliburton to divert attention from its role in the Deepwater
Horizon incident and its failure to meet its responsibilities, and to
deflect all blame to BP. BP will vigorously contest the claims should
they come to court.
BP has co-operated with the various investigation
bodies, providing detailed information. Investigations published so far
have concluded that multiple parties contributed to the incident,
including Halliburton.
Multiple independent investigations have identified
serious problems with the cementing of the well as a potential
contributory factor to the Deepwater Horizon disaster – not only BP’s
own investigation.
BP has accepted its responsibility for responding to the
spill and is accordingly paying costs and compensation. In contrast
Halliburton has refused to accept any responsibility or accountability.
As BP has said repeatedly, it expects other parties to accept their
responsibilities and bear their share of the costs.
mercredi 31 août 2011
Data, inventories send crude prices lower
The price of crude oil dropped
Wednesday on disappointing data and news from the United States and
after the US Energy Information Administration reported that crude oil,
gasoline and distillates inventories all grew last week.
September contracts for West Texas Intermediate crude
were down $2.12 to $91.67 per barrel at nearly 1:30 p.m. on the New York
Mercantile Exchange, while Brent crude was lately reported won $3.06 to
$113.40 per barrel on the ICE Futures Europe exchange in London.
The good news was that private group ADP reported that
the US private sector added 114,000 new jobs in July, but the Institute
for Supply Management said that its services sector index dropped to
52.7 in July, down from 53.3 in June and against an expected rise.
Additionally, the US Commerce Department reported that US factory orders were down by 0.8 percent in the United States in June.
US President Barack Obama signed a bill raising the debt
ceiling, but while Moody’s Investors Service and Fitch Ratings both
reaffirmed their AAA ratings on US credit for now, Moody’s put a
negative outlook on the raging and both ratings agencies warned that
they could still cut the US credit rating if legislators did not follow
through on debt reduction.
The EIA reported that crude oil inventories were up by 1
million barrels last week to 355 million barrels, 0.8 percent below
last year’s levels and less of a gain than expected, while gasoline
stockpiles added 1.7 million barrels to 215.2 million barrels against an
expected gain of just 350,000 barrels and distillates added 400,000
barrels, much less than the expected gain of 1.8 million barrels.
Refineries worked at 89.3 percent of capacity in the
United States last week, according to the EIA, a percentage point higher
than the previous week, and it also reported that gasoline demand over
the past four weeks was down 3.6 percent from last year during the same
period.
Danish Energy Agency grants Nord Stream permission to operate the first of its twin pipelines from Russia to Europe
The Danish Energy Agency granted
Nord Stream permission to operate the first of its twin pipelines that
will transport natural gas from Russia to Europe. The application for
Line 1 was sent in March – exactly two years after Nord Stream applied
for permission to construction of the Nord Stream project.
The operations permit has been granted by the Danish
Energy Agency as Nord Stream has met and fulfilled all the requirements
and commitments stated in the construction permit. Nord Stream has
furthermore initiated a comprehensive environmental monitoring programme
to ensure that the pipeline has no impact on the ecosystem of the
Baltic Sea.
The Operations Permit is based on the documentation
submitted by Nord Stream, such as detailed plans which will guarantee
the safe operation and maintenance of the natural gas pipeline. The
Danish Energy Agency states that Nord Stream is responsible for
emergency response planning as well as communicating with the
responsible authorities. Nord Stream must also maintain an operational
organisation which has sufficient resources and competencies in order to
secure the safe operation of its pipeline. Furthermore, the company
must also continuously submit reports on the status of the operations of
its pipeline.
“We are happy to receive the operations permit from the
Danish Energy Agency today. Thanks to a smooth cooperation with the
Danish authorities Nord Stream today has taken a step further in
securing safe gas deliveries to Europe – including Denmark,” says
Nicklas Andersson, Head of Permitting for Denmark and Sweden.
Each of the two pipelines is constructed in three
sections. Prior to the advanced underwater welding process, the sections
were gauged and thoroughly pressure-tested. Each section was
pressurised beyond its planned maximum operating pressure to demonstrate
that it can withstand its full operating pressure.
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